dimanche 22 mars 2009

TEDANGA n'est pas le caïd de la langue française


Maurice GLIGLI (photo) qualifie TEDANGA Ipota de « caïd » de la langue française
TEDANGA n'est pas le caïd de la langue française


Je me suis imposé le devoir et l’ingrate tâche de répliquer aux attaques d’un certain Maurice Mouta Wakilou Gligli, Belge d’origine togolaise, car, en attendant que la justice passe suite à diverses plaintes que j’ai déposées et suite à la saisie du juge d’instruction par mon conseil, il est bon de ne pas laisser l’internaute face à ces propos sans les contredire. Qu’entend M. Gligli par « caïd » de la langue française ? L’internaute doit savoir que, dans ses nombreuses attaques contre moi, ce monsieur profère des propos contradictoires, insensées que je relève pour lui montrer en quoi ces dites attaques sont infondées :


· Le jeudi 11/12/08 à 12:41, Maurice Gligli m’envoie un courriel dans lequel il écrit ce qui suit : « Je t'ai emprunté plus de 20 bouquins, comme tu es un irresponsable et en manque de sous, un affamé, un ventru, tu les as vendus ». Je lui ai répondu : « Vous dites que vous m'avez emprunté 20 livres (…) Vous voulez dire que vous m'avez prêté 20 livres. Vous voyez que vous avez toujours besoin du coup de pouce lexicologique de celui que vous appelez votre professeur qui vous a tout appris (…) ».


· Ailleurs et toujours à propos de ses livres, il écrit en s’adressant à moi (Je le cite de mémoire) : « Tu m’as escroqué mes livres que je vous ai donnés volontairement ». L’internaute se demande avec moi comment on peut escroquer des livres que l’on vous a donnés volontairement.


Je pourrais aligner d’autres propos de la même eau. Le faire, ce n’est pas me positionner comme « caïd » de la langue française, mais c’est montrer à l’ingrat Gligli que, de par son faible niveau d’instruction, il a une maîtrise faible du français écrit et que c’est la raison pour laquelle il a toujours besoin d’un nègre (TEDANGA Ipota Bembela, BOLE Jean, etc.), nègres qu’il doit respecter et non pas les diffamer, les insulter.


Le français, ce n’est pas ma langue maternelle. J’ai une position idéologique connue s’agissant de l’utilisation de cette langue dans mon pays, la République Démocratique du Congo, et même en Afrique noire. Bien qu’étant romaniste de formation, je n’idolâtre pas le français au point de m’ériger en « caïd » de cette langue. S’il faut que je sois « caïd » d’une langue, j’aimerais être celui du lingala et de la dizaine d’autres langues congolaises que je parle sans bégayer. J’ai publié Ressusciter le Dieu des Nègres, ouvrage de 520 pages dans lequel apparaît clairement mon positionnement afrocentrique en matière religieuse, politique et linguistique. La réaction de M. Gligli est caractéristique de celle d’une personne qui refuse de reconnaître son déficit théorique dans tel domaine donné et qui fait croire le contraire de ses réelles performances linguistiques. J'ai toujours conseillé à ce jeune homme de parfaire son instruction en vue de sa relative autonomie en ce domaine. Il ne m'a pas écouté et ceci devient son vrai cauchemar: que diront les Togolais de lui qui n'a pas mis à profit ses années de vie en Belgique pour s'instruire davantage? Il se console en se proclamant "Docteur de la rue". En ce qui me concerne et sans nullement idolâtrer le français, je n’attire son attention sur son déficit que dans la mesure où cela a trait au caractère contradictoire et infondé des accusations qu’il porte contre moi.


TEDANGA Ipota Bembela