jeudi 19 mars 2009

TEDANGA Ipota Bembela n'est pas un abuseur de confiance

Maurice Gligli
Un homme dangereux!

En matière de communication, il vaut mieux ne jamais laisser circuler des fausses informations sans les démentir et les contredire. Sans m’éterniser à échanger avec un individu qui ne profère que des propos insultants, bas et diffamatoires, j'ai déjà confié à mon avocat bruxellois le soin de s’occuper de le déférer en justice.

Voici libellé par lui-même dans un courriel qu'il m'a envoyé le mardi 27/01/09 à 15:12 le motif pour lequel M. Mouta Wakilou Gligli me traite d'abuseur de confiance. Lisez ce passage attentivement, s'il vous plaît (Je cite textuellement) : "(….) Malhonnête Tédanga. J'invite des conferenciers pour un Colloque. Je les loge et derrière mon dos, tu les invite les détournant pour que tu fasses avec eux un projet d'Institut avec Biyogo. Voilà la vérité. Pourquoi, ne dépenses tu pas pour leur faire effectuer le déplacement jusqu'ici afin de profiter de leur potentialités intellectuelles? C'est cela abuser de la confiance d'un tiers(…)" (sic). Voici un paragraphe du courriel du 8 décembre 2008 dans lequel le Belge malgré lui s’adresse à moi en ces termes : « Récupérateur opportuniste. Est-ce toi qui avait invité Biyogo ici avant de le détourner à aller chez Diouf » (sic).
Cher lecteur et chère lectrice, trouvez-vous là un motif sérieux qui puisse permettre à quelqu'un d'affubler un autre de deux hideux qualificatifs de malhonnête et d'abuseur de confiance?
Effectivement, Maurice Gligli a organisé un colloque auquel il a invité entre autres le professeur Biyogo (du Gabon) que je ne connaissais pas. Après avoir fait la connaissance de cet éminent Africain, je l'ai invité à manger chez moi, bien après le déroulement du colloque. Biyogo est un adulte et ne devait sûrement pas demander l'autorisation de Maurice Gligli pour se déplacer dans Bruxelles ou même pour faire un projet avec quiconque. Si Biyogo et moi faisIons un projet (prenons la création d'un Institut Cheikh Anta Diop), nous n'étions pas tenus d'y associer Maurice Gligli qui, en l'occurrence, n'est pas outillé pour apporter une contribution consistante aux recherches de haut niveau telles que celles qui se projetaient. Il faut, hélàs, reconnaître que Maurice Gligli ne comprend pas ce que cela veut dire "abuser de la confiance" de quelqu'un. J'étais libre d'inviter Biyogo comme Biyogo était libre d'accepter ou de rejeter mon invitation. De toute façon il n'avait qu'à s'en prendre au professeur Biyogo et je connais ce qu'il allait recevoir comme leçon de politesse car Gligli est insolent, irrespectueux.

Je précise autre chose: M. Gligli ne dépense pas de sa poche pour faire venir les conférenciers comme il semble le faire croire. Il reçoit un subside de la part de la Belgique dans le cadre de ses asbl. Ce sont des activités culturelles subventionnées. Il n’a pas de moyens personnels pour payer à quiconque son déplacement et son logement à l'hôtel. S'il avait des moyens, il n'aurait pas abandonné ses enfants mineurs et aurait contribué à leur éducation en payant la pension alimentaire.
M. Gligli m'accuse de vouloir profiter de potentialités intellectuelles de Biyogo encore que ce n'était pas le cas dans le cadre du projet auquel ce monsieur fait allusion. Par contre je connais une personne dont cela (profiter des potentialités intellectuelles des autres) constitue la spécialité. Il s'appelle Maurice Gligli même s'il n'est pas reconnaisant envers ceux qui se dévouent pour lui.
Je conclus avec vous: Maurice Gligli est un individu dangereux dont le sport favori consiste à salir même ses bienfaiteurs. Méfiez-vous, Mesdames et messieurs. Ce qu'il a fait à tant d'autres et à moi, il peut le faire contre vous.
TEDANGA Ipota Bembela
Bruxelles 19 mars 2009