Je voudrais longuement réfuter cet autre propos mensonger et diffamatoire de M. Mouta Wakilou Gligli en vertu de ma volonté de ne point laisser ses accusations et diffamations sur la toile sans leur opposer ma version. Je demeure courtois quand je m’adresse à M. Gligli car telle est mon éducation. Voici l’affirmation de M. Gligli s’agissant de M. Lambert Mende, Ministre de l’information de la RDC, et de son livre intitulé Dans l’œil du cyclone :
« (…) j'ai fait une recension du livre de Mendé 'dans l'oeil du cyclone' que j'ai envoyé àTédanga pour relecture.Le pusillanime me supplie de faire autre chose car il a aussi des comptes à régler à Mendé.Pour ce faire, il aurait préféré rajouter des pan entiers d'arguties à mon texte ».
Je vais méthodiquement réfuter ce mensonge. Tout d’abord, je prie les internautes d’examiner la chronologie suivante :
· Le mercredi 21/05/08 à 11:26, Maurice Gligli me fait parvenir sa recension du livre de M. Lambert Mende Omalanga (Document 1)
· Le vendredi 06/06/08 08:51, Maurice Gligli m’envoie un texte reprenant ce que dit une certaine presse de Kinshasa à propos du livre de Lambert Mende (Document2)
· Même jour, réponse de Tedanga : «simple merci (Document 3)
· Le vendredi 06/06/08 à 14:13, le sieur Maurice Gligli envoie à Tedanga le compte-rendu du livre de Lambert Mende fait par Guy De Boeck.
· Le même jour, Maurice Gligli fait parvenir à Tedanga les statuts de l’AFDL.
· Le 10 décembre 2008, Maurice Gligli publie sa recension dans le site Togocity
Voici mon commentaire et ma réfutation basée sur des documents incontestables :
Comme d’habitude, Maurice Gligli m’a fait parvenir sa recension pour que je la lui corrige. Il m’a aussi fait parvenir de la documentation pour que j’améliore son texte. Du 21 mai 2008 au 10 décembre 2008, Maurice Gligli n’a reçu de ma part aucun courriel indiquant que j’allais enrichir son texte en vue de nuire à M. Lambert Mende Omalanga. Il ne détient aucun écrit de moi allant dans ce sens. Quand Maurice Gligli publie-t-il sa recension non revue par moi ? Le 10 décembre c’est-à-dire deux jours après que je lui ai envoyé mon courriel pour rompre toute relation avec lui comme vous pouvez le lire dans le document 6. Autrement dit, de mai à décembre 2008, Maurice Gligli a patienté dans l’espoir que je lui améliore son texte. Pourtant je lui avais indiqué clairement que je ne voulais pas toucher à ce texte. Si, comme Maurice Gligli le déclare, je l’avais supplié pour qu’il accepte que je corse sa critique en vue de nuire à M. Lambert Mende, pourquoi l’ai-je fait attendre pendant plus de six mois ? Je me serais plutôt empressé, non? En tant que professionnel, il ne me faut que peu de temps pour pondre la critique d'un tel ouvrage.
Quand Maurice Gligli a compris que je n’allais plus rien faire pour lui, alors seulement il a publié sa recension. Pourquoi ment-il ? Ce n’est pas par amitié ou sympathie pour Lambert Mende qui se passe volontiers de son concours. S’il avait de l’amitié ou de la sympathie pour ce Ministre, il m’aurait dénoncé bien avant si tant est que j’aie prémédité quoi que ce soit avec lui. Il n’est pas difficile de démontrer que sa déclaration a à voir avec ma décision de ne plus l’assister. En outre et puisque de toute manière le progressiste Gligli critique Lambert Mende (voir son texte), n’est-il pas idéologiquement contradictoire et inexplicable qu’il dénonce un soi-disant complice dont il dit qu’il allait démonter le texte que lui-même critique avec tant de véhémence ? Un tel geste n’est-il pas ridicule, misérable ? Il se confirme que Maurice Gligli est un progressiste de pacotille.
Dans tous les cas, en m’ayant transmis des documents en vue de corser la critique du texte de Mende, l’homme devenait d’office mon complice si tant est encore une fois que j'aie eu cette intention que le maître chanteur Gligli m'impute. Il se trompe s’il croit pouvoir s’attirer les faveurs du Ministre congolais. Tout s’explique par la misère psychologique de Maurice Gligli et par sa volonté de toujours nuire au prochain.
En réalité, je n’ai jamais voulu faire un compte-rendu du texte de M. Lambert Mende Omalanga qui est au courant que j’en avais déjà discuté avec des personnes honorables dans un autre cadre. J’avais d’ailleurs clairement indiqué que je ne voulais pas m’atteler à l’étude de ce texte. Maurice Gligli auquel je n'ai pas à expliquer mes raisons ne le savait pas et n'avait pas à le savoir et c'est cela qui permet de le confondre. Voilà l'avantage de ne jamais s'abandonner devant un prsonnage de ce type et de préserver son secret d'être pour n'en laisser filtrer que ce que l'on veut qu'il sache, ce qui permet à présent de le mettre devant ses propres contradictions et de le confondre. Je n’ai qu’une parole et certains de ceux qui me lisent se souviendront de ma prise de position. Je connais personnellement M. Lambert Mende Omalanga, je le connais même très bien et, de par mes origines en RDC, je ne peux que le connaître même si nous ne sommes pas du même bord politique et que je n'ai rien à voir avec les événements que le Ministre traite dans son livre. Si j'ai à dire à l'auteur de Dans l'oeil du cyclone, je ne le ferais certainement pas en me laissant à mon âge manipuler par un agité comme Maurice Mouta Wakilou Gligli. Ce serait un scandale.
Je voudrais terminer: M. Gligli croit naïvement qu’il peut comme cela démonter le texte de Mende. C’est pitoyable et ce n'est pas dit. Maurice Gligli n’en a pas les moyens : il n’arrive même pas à la cheville du Ministre congolais. L'ouvrage a été préfacé par Evariste Boshab. C’est dire si ce texte est très bien encadré. Autour de Lambert Mende, il y a du monde que je connais et qui pourrait, à la place du Ministre, se charger de clouer le bec à cet impertinent. Si on ne répond pas aux stigmatisations de Maurice Gligli, c’est pour ne pas lui accorder une quelconque importance. Le démon Gligli est déçu car il n’a pu, comme il l’espérait, sous-traiter les capacités de son nègre.
Cet individu croit pouvoir s’attaquer à tout le monde. Est-ce que moralement il vaut mieux que les Mobutu, Eyadema, Mende … qu’il traîne dans la boue ? Quand on abandonne ses enfants pour ne pas avoir à payer la pension alimentaire et que l’on refuse de reconnaître le sang de son sang pour cette même raison, on est bon pour fermer son clapet. Quand il s'invente un Front Patriotique et des militants pour se faire soutenir à l'occasion d'une rixe ridicule avec un gamin que soi-même on a provoqué, quand il cherche à semer la zizanie entre un homme d'Etat et un privé sans mesurer les conséquences de ses actes, il n'est pas meilleur que ceux qu'il ose critiquer. C'est pourquoi je peux me permettre de pronostiquer que si, d’aventure, ce fou parvenait à avoir le pouvoir d’un Eyadema (fils ou père), il transformerait le Togo en un Cambodge africain. Gligli est un Polpot en puissance.
TEDANGA I.B.
Document 1
Mercredi 21/05/08 11:26
DANS L'OEIL DU CYCLONE
A première vue on penserait que Dans l’œil du cyclone est un polar wolywoodien. C’est plutôt un témoignage politique fait par l’un de ceux qui ont pris les armes en RDC et pour le compte de la rébellion RDC- Goma contre le pouvoir populaire de Laurent Désiré Kabila. Son auteur n’est autre que Lambert Mande connu pour son eccleptisme. D'entrée dans la préface on nous parle de « dettes de clarifications ? » dont l’auteur s’acquitte Dans l’œil du cyclone quelle aberration? Ici en occident, lorsque les nazis ont commis l’ignominie, ils ont été traduits devant les Tribunaux afin que justice soit faite. Tout simplement. C’est n’est qu’en Afrique que le droit n’est jamais dit pour les victimes de la barbarie et de la sauvagerie comme ce fut lescas dans la guerre d'agression en RDC. D'ailleurs Mande est contrarié de trop par le fait que Kabila met l’accent sur les chatiments et sanction à infliger aux voleurs et aux pilleurs.On penserait à cette maxime qui dit qui se sent morveux se mouche. Lorsqu’on a vécu dans sa chair l’agression dont le Congo a été victime comme le reconnaît l’auteur, on se doit de défendre sa patrie dans les rangs des patriotes, des amoureux du Congo afin que son beau pays ne soit pas dépiécé. Tel n’est pas le cas de Lambert Mande. Malheureusement. Il ne sert à rien de venir dénoncer des années bien plus tard les pays agresseurs alors que soi même on a été sous la coupe de ses pays agresseurs pour combattre le régime du président Kabila.Et les millions de morts?
Contenu du livre
On ne voit pas clairement le rôle que Lambert Mande a joué, il n’a pas le courage de situer ses propres responsabilités Ensuite, de Kabila , il ne dit que du bien .Mais alors pourquoi avoir choisi de le combattre ? Est-ce un effet de mode ? Dans le livre, il s’en prend au PTB et à son leader pour avoir influencé négativement l’orientation politique de l’AFDL
Mouta Maurice GLIGLI
Tél +32 477 71 93 37
Document 2
ven. 06/06/08 08:51
Il suffit de cliker sur ce lien
http://64.233.183.104/search?q=cache:LK3X9reHtc8J:www.congoforum.be/fr/congodetail.asp?subitem%3D21%26id%3D42453%26Congofiche%3Dselected+DANS+Lmouta w maurice gligli
Vieux voici ce que dit une certaine presse de kinshassa a propos du livre de Mendé. Sur le site de Congo Forum il ya une site de guy de book tres laudateur. Bien a toi
Document 3ipota bembela tedanga
Maurice,Merci beaucoup pour ces informations. A demain au mariage.
Vieux Camille
Document 4
Envoyé :
ven. 06/06/08 14:13
À :
ipota bembela tedanga (tedanga@hotmail.com)
1997 - 2003 "Dans l'oeil du cyclone" de Lambert MENDE
Recension de cet ouvrage parue dans "Dialogue", organe de l'asbl "Dialogue des Peuples". « Dans l’œil du cyclone.Congo-Kinshasa, les années rebelles1997-2003 revisitées », par Lambert MENDE Omalanga, Paris, l’Harmattan,Collection Comptes rendus, 280 p. 26,50 €.
Pendant longtemps, on a dit « Clio (la Muse de l’Histoire) est une personne respectable qui n’aiment pas que ses soupirants la serrent de trop prés ». Il fallait entendre, sous ces images fleuries, que l’histoire ne s’écrivait bien que quelques temps, et même de préférence longtemps, après les événements. En parler sur le moment, ou très (trop ?) vite après, c’était là du journalisme. .. Ce dernier mot était prononcé du bout des lèvres, avec l’air de s’excuser d’avoir lâché un pet, comme s’il s’agissait d’une forme littéraire équivoque. Sauf erreur de ma part, Mai 68 fut la première occasion où l’on se mit au contraire à parler d’histoire « immédiate ». En effet, il régnait encore autour de la Sorbonne un remugle de gaz lacrymogène, que déjà les premiers ouvrages d’analyse fleurissaient aux devantures des libraires. Depuis lors, le genre n’a fait que croître et embellir et les « briques » commises par des journalistes ne se comptent plus, cependant que le corps académique lui-même se met parfois à commenter les choses « scientifiquement » pendant même qu’elles se déroulent. D’ailleurs, soyons de bon sens et de bonne foi : s’il est exact qu’à quelques années seulement des événements les archives sont encore fermées, les acteurs par contre sont toujours vivants et peuvent parler. Traitant des événements qui se sont déroulés au Congo entre 1996 et 2003, et d’ailleurs sous-titré « les années rebelles revisitées », le livre de Lambert Mende fait incontestablement partie de cette catégorie de l’histoire, sinon immédiate, du moins « à chaud ». Brûlante même, dans la mesure où la violence est loin d’être terminée et où des soldats étrangers sont toujours présents sur le sol congolais…« Dans l’œil du cyclone » est donc écrit, au sujet d’événements encore récents, par un homme qui y a participé, et qui est encore activement présent dans la politique congolaise puisqu’il détient, dans le gouvernement Gizenga II, le portefeuille des Hydrocarbures. Les « souvenirs de guerre » oscillent souvent entre le récit héroïque, style « How I won the war » et les anecdotes truculentes à la « Soldat Schweik » et les mémoires d’hommes politiques consacrent souvent maintes pages à l’autojustification, à l’érection de leur propre statue et à exprimer toute l’admiration que l’auteur éprouve pour lui-même (ce dernier péché mignon sévissant d’ailleurs tout particulièrement au Congo. Souvent aussi, on y assiste aux exercices un brin sophistiques d’un politicien à la carrière ondoyante qui s’efforce de nouspersuader que sa vie fut au contraire droite et rectiligne, et toute entière dédiée aux grands principes. Si l’on tient compte de ce que Lambert Mende commença par s’illustrer en orateur brillant et incisif à la CNS, adhéra ensuite au RCD Goma et est aujourd’hui ministre AMP et auteur préfacé par Evariste Boshab, on pouvait s’attendre à quelques joyeusetés. Il faut sans doute soupçonner, parmi les ascendants de Lambert Mende, la présence de quelques piroguiers habiles car, pagayant sur de tels rapides et au milieu d’autant d’écueils, il a réussi à ne pas boire la tasse. Saluons l’exploit ! L’auteur est au contraire, dans ce livre, singulièrement modeste. Je dirais presque absent. Lorsqu’il apparaît, pour la première fois dans son propre récit, il se trouve à Kinshasa et se fait « réquisitionner » son véhicule par l’AFDL. Son passé nous est épargné, il parle de la CNS en résistant à la tentation de mettre son rôle en valeur[1].Plus tard, tombé en disgrâce auprès des caciques du RCD, il ne cède pas davantage à la tentation de narrer par le menu ses persécutions et tribulations. On pourrait penser que cette modestie est une habile manœuvre pour éluder les questions que l’on pourrait se poser à son sujet. Ce n’est pas le cas, puisqu’il y répond. Il répond du moins à la principale : pourquoi le RCD. Pour bousculer l’immobilisme des tombeurs de Mobutu face aux(…) ambitions démocratiques.La réponse peut être courte esembler insuffisante, mais le fait est qu’elleest là. Prenons en acte. Qu’apprend-t-on en lisant « Dans l’œil du cyclone » ? Comme dans bien des ouvrages traitant d’histoire récente (je pense, par exemple, à la kyrielle de livres sur la mort de Lumumba) il s’agit moins de « révéler » une histoire qui est globalement connue, que d’en affiner les détails et de leur donner leur juste place et leurs justes proportions. Nul, par exemple, n’ignore que le Rwanda joue dans les événements de l’Est un rôle capital, et que l’arrogance rwandaise se fonde en partie sur la faveur dont le régime Kagame jouit aux Etats-Unis. Mais à propos de la manière dont cela s’intègre dans le programme de « Renaissance africaine » de l’impérialisme sous Clinton, du rôle précis du « Congo desk » de Kigali, des nuances – allant jusqu’à se faire la guerre- qui séparent Kagame de Museveni, de la part de vrai souci sécuritaire et de simple avidité pillarde qu’il peut y avoir dans les motivations rwandaises, de l’étendue de certaines atrocités, notamment celles commises par le MLC, de la maniére dont l’Europe et notamment la Belgique ont allégrement posé culotte et adopté le point de vue d’équidistance pour complaire aux USA, de la servilité plate et de l’absence d’autonomie de la direction du RCD Goma, on apprend maintes choses qui affinent nettement un tableau trop souvent réduit à un croquis. Faut-il le dire, on peut ne pas partager les appréciations de Lambert Mende sur plus d’un point. S’il reconnaît qu’en 1993, la CNS étant bloquée par Mobutu, les perspectives de démocratisation sans violence s’éloignaient une fois de plus et rendaient la lutte armée légitime, il est manifeste qu’il n’a pas compris ce qui faisait agir Laurent Kabila. Celui-ci, fort longtemps avant 1996, était littéralement obsédé par une idée : depuis les « Guerres du Shaba », on connaissait la vulnérabilité militaire de Mobutu, dont les FAZ n’excellaient que dans la retraite précipitée. Mais on savait aussi qu’il serait toujours sauvé par des interventions occidentales. La question était donc de trouver l’ouverture, la circonstance où, par exception, le « parapluie » impérialiste ne serait pas déployé au-dessus du dictateur. C’était, disait-il, la seule possibilité imaginable pour qu’une révolution puisse être victorieuse au Congo. Cette considération l’emportait à ses yeux sur tout le reste. Et il est manifeste qu’il n’a cherché dans l’alliance rwandaise qu’un « passeport » permettant de bénéficier de la bienveillance américaine. Qu’il ait décidé de faire sortir une vraie guerre de libération d’une entreprise conquérante rwandaise, cependant que les rwandais s’efforçaient d’utiliser la volonté de libération des Congolais au profit de visées impérialistes, chacun cherchant plus ou moins à entuber l’autre, ce sont là de ces coups fourrés entre alliés comme il s’en donne dans bien des guerres. C’est courant en politique, même si ce n’en est pas le plus beau côté. Ajoutons tout de suite, d’ailleurs, que si Lambert Mende n’a pas compris certains des ressort qui faisaient agir Mzee Kabila, il ne cache pas sa sympathie pour lui, au moins sous l’angle de son patriotisme profond et total. Cela l’amène d’ailleurs à se montrer d’autant plus sévère pour l’AFDL (si ce n’est pas la faute du chef, c’est donc son entourage…) et il ne manque pas, notamment, de citer quelques unes des gaffes les plus monumentales de Gaétan Kakudji, orfèvre en matière de déclarations intempestives. Peut-être aussi est-ce la raison por laquelle il semble accorder une importance excessive au rôle de « mauvais conseilleur » qu’aurait joué Ludo Martens. Celui-ci était beaucoup plus fasciné par une Afrique imaginaire, qu’il voyait à travers le prisme de son rêve révolutionnaire, qu’il ne pouvait être fascinateur pour les Congolais, et certainement pour un homme comme Laurent Kabila. Affirmer donc que « … Kabila avait été trop réceptif aux thèses extrêmes de l’activiste belge en vertu desquelles les droits individuels peuvent être sacrifiés dur l’autel d’une certaine idée de l’efficacité révolutionnaire » (page 48), c’est oublier un peu vite que Kabila était communiste bien avant que Martens hissât son premier drapeau rouge ! Et le primat de l’urgence collective sur les intérêts individuels n’est d’ailleurs pas un principe propre au marxisme ! Au fond, Mende et Kabila ne donnaient pas le même sens au mot « démocratie ». L’auteur a en tous cas l’élégance de ne pas en prendre prétexte pour faire automatiquement decelui qui ne pensait pas comme lui un aspirant dictateur. Après la lecture de « Dans l’œil du cyclone, on en sait vraiment plus sur les événements et on les comprend peut-être un petit peu mieux. Il est rare que l’on puisse faire de tels compliments à un livre sur le Congo ! Guy De Boeck
Document 5
Vendredi 06/06/08 08:54
Les statuts de l'afdl datent de janvier 1997. donc avant le 17 mai
http://www.congonline.com/Politiq/statuts.htmMouta Maurice GLIGLI rue de l'Hectolitre 22/7B- 1000 Bruxelles. (BELGIQUE)Tél +32 477 71 93 37
Document 6
Le lundi 08/12/08 à 18:09
Maurice, A dater de ce jour, vous ne connaissez plus ni mon courriel, ni mes numéros de téléphone et ni mon adresse. J'ai pris la décision de rompre définitivement mes relations avec vous. Je détiens quelques-uns de vos livres. Comme je ne souhaite plus vous rencontrer du tout, je demanderai exceptionnellement à mon fils aîné de prendre contact avec vous pour vous remettre ces livres. Il est vrai que j'ai égaré une huitaine de livres du fait de mon absence prolongée de Bruxelles un moment et surtout des deux déménagements que j'ai faits. A ce sujet, je vous rappelle que j'ai fait beaucoup pour vous. Je détiens le classement de tout ce que j'ai fait pour vous en tant que nègre littéraire. Je ne vous ai jamais facturé alors que, comme vous le savez, ce genre de travaux coûte cher. Même si ces livres que vous recevez gratis pro deo pour en faire des recensions ne compensent pas le coût de tout ce que j'ai fait pour vous et étant donné que, dans la mesure où j'interviens dans la rédaction de ces recensions que vous signez, je peux me considérer en droit de vous réclamer une partie de ces livres, je vous propose de considérer cette huitaine de livres comme compensant partiellement la note que je ne vous ai pas présentée. J'ai rassemblé, dans un dossier, toutes les lettres que j'ai écrites pour vous avec les liens permettant de prouver que cela venait de vous. Ne m'appelez pas. Ne me demandez plus rien. Cherchez-vous un autre nègre. Ne me répondez pas. Attendez que mon fils vous contacte. Ce sera pendant le week-end parce qu'il travaille pendant la semaine.
Tedanga Camille