mardi 24 mars 2009

Le maître chanteur Maurice Gligli appelle à la violence contre TEDANGA

Maurice Gligli incite M. Mutshipayi Kalombo CIBALABALA à user de la violence contre TEDANGA


Ami(e)s internautes, je vous fais lire cette lettre de Maurice Gligli adressée à M. Mutshipayi KalKalombo CIBALABALA et dont il m’a envoyé la copie par voie électronique ce mardi 24 mars 2002009.
Lisez attentivement s’il vous plaît (Je cite textuellement) :

« Monsieur,

Nous nous sommes vus pour la première fois à la foire du livre de Matongué. Je vous avais promis de vous écrire.C'est ce que je fais aujourd'hui.Vous autre ne me connaissiez. Avec Tédanga le condescendant, nous devisions sur vous.C'est ainsi que j'ai su que vous êtes très violent. Pour ne pas subir votre répartie, il a voulu m'utiliser pour vous régler un contentieux. Pour information, sachez que Tédanga Camille ne vous porte pas dans son coeur. Pas du tout. Il y a un an il m'avait demandé de publier ce texte chiffon plein de mépris et de haine sur des sites togolais et congolais dans le seul but de vous "mettre à genoux" une expression chère à lui.Pourquoi ? D'après ses aveux, vous aviez parlé mal de lui auprès d'un abbé qui est venu le lui rapporter.Vous aviez médi de lui .Il en a fort été touché.Vous autre aviez oublié ces faits; vous aviez oublié ce passé.C'est ainsi que en toute innoncence vous êtes allé lui confier la recension de votre livre, le patriote. Tedanga m' a confié qu'il fera tout pour que votre livre ne soit pas vendu. Aujourd'hui,en parcourant les sites, je me rends compte que vous êtes tout sauf à vous comparer à un aigri et jaloux comme Tédanga. J'ai eu à faire publier sur des sites des textes de Tédanga.Je lui ai crée un blog.C'est dans ces circonstances qu'il m'a "confié la mission" de vous abattre. Vous constatez que je ne l'ai pas fait!Tout simplement parce que je ne suis pas facilement manipulable. Mieux, il a proposé de réecrire le premier jet. Carrément! Même démarche vis à vis de Lambert Mendé.Pour la petite histoire, j'ai fait une recension du livre de Mendé 'dans l'oeil du cyclone' que j'ai envoyé àTédanga pour relecture.Le pusillanime me supplie de faire autre chose car il a aussi des comptes à régler à Mendé.Pour ce faire, il aurait préféré rajouter des pan entiers d'arguties à mon texte.Je publierai mon texte sur mon blog et sur les sites togolais avec mon nom.Voilà ! Tout ceci parce que Tédanga se croit plus malin: il me prend pour un Youma comme il a l'habitude de le claironner à qui de droit. Je vous encourage à faire ce que vous faites: la diffusion du savoir. L'Afrique vous en sera reconnaissante! Le chiot aboie la caravane passe. Ci joint votre CV. Au moins vous autres avez une profession. Félicitations ! Maurice Mouta Wakilou Gligli »

Voici ma réponse adressée à Maurice Gligli avec copie pour Cibalabala :

« Monsieur Maurice Mouta Wakilou Gligli,

Ce mardi 24/03/09, je viens de recevoir votre courriel où vous vous livrez à votre tactique habituelle, à savoir mêler des tiers à un problème qui ne les concerne pas. Dans ce courriel, vous instiguez contre moi deux personnes, à savoir M. Mutshipayi Kalombo Cibalabala et M. Lambert Mende, Ministre de l’Information de la République Démocratique du Congo. Je voudrais traiter tout de suite le cas de M. Mutshipayi Kalombo Cibalabala.

Les faits évidemment ne sont pas tels que vous les présentez. Comme d’habitude, vous m’aviez fait part verbalement de votre intention de faire une recension d’un livre, en l’occurrence celui de Mutshipayi Kalombo Cibalabala, livre intitulé Le Patriote ou l’absurdité de Maître Ibrahima Diawara, publié chez publibook à Paris en 2008. Je reconnais vous avoir confié que l’auteur de ce livre m’avait déjà sollicité pour faire une recension de cet ouvrage et que, après lecture, je n’avais pas du tout apprécié son texte. Après avoir pris connaissance de ma critique, vous m’avez supplié pour que je vous en transmette une copie, ce que j’ai fait et c’était là mon erreur, une erreur qui permet au malhonnête que vous êtes de m’opposer à Mutshipayi Kalombo Cibalabala et d’aggraver le fossé de notre différend.

Quelques jours après et ayant flairé la bonne affaire, vous m’avez recontacté pour m’inciter à publier cette critique radicale. Je vous ai dit que l’auteur était un ami et un frère, que par conséquent je ne pouvais pas lui faire cela. Puis, séduit par la perspective de briller, vous m’avez fait part de votre intention de publier mon texte sous votre signature. C’est alors que je vous apprendrai que cela n’aura aucune valeur puisque j’avais déjà transmis mon texte à l’auteur et à quelques personnes qui lui sont très proches. C’est ainsi que vous avez été contraint de renoncer à votre projet de me voler mon texte et de le signer. Il va de soi donc que je ne pouvais pas vous demander de publier en votre nom ce texte que l’auteur détenait déjà. C’est un gros mensonge destiné uniquement à m’opposer à Mutshipayi Kalombo Cibalabala. Il est faux de dire que j’ai eu peur de « subir la répartie de l’auteur » puisque j’avais transmis ma critique à l’auteur et lui ai dit en face ce que je pensais de son ouvrage. Donc vous mentez. J’ai toutes les preuves que je vous ai transmises hors de cette communication destinée au public. Vous voyez là encore une fois votre manœuvre et votre procédé sordides d’homme qui cherche à mêler tout le monde à un problème qui ne concerne que vous et moi.

J’ignore le fait que M. Mutshipayi Kalombo Cibalabala ait médit de moi chez un ecclésiastique. Il vous revient de citer le nom de cet ecclésiastique et de révéler ce que M. Mutshipayi Kalombo Cibalabala lui a dit me concernant. Devant les internautes du monde entier, je vous demande de citer le nom du prêtre auquel Cibalabala aurait parlé et de donner le contenu de leur conversation.

Si mon but était de nuire à M. Mutshipayi Kalombo Cibalabala, j’aurais publié ma critique qui me semble difficile à réfuter puisque basée sur des faits palpables tirés du texte lui-même. J’en ai discuté avec l’auteur et lui ai dit ouvertement que je renonçais à publier la recension. Je joins une ou deux correspondance non compromettantes juste pour crédibiliser mon propos. En agissant de la sorte, vous gênez plus M. Cibalabala que moi. Vous êtes pernicieusement en train de faire la publicité d'un problème que lui et moi avons enterré. Vous n'êtes jamais bon que quand il s'agit de nuire au prochain. Quel monstre vous êtes, jeune homme?

Monsieur Gligli, je saisis une énième fois le procureur du roi. Il lira ce texte car ce que vous faites, c’est inciter M. Mutshipayi Kalombo Cibalabala à me faire du mal. Je pense que le code pénal prévoit quelque chose contre une telle manœuvre. C’est comme un appel, une instigation au meurtre. Vous êtes un menteur avéré, un malhonnête. Je présente mes excuses les plus plates à Cibalabala pour mon erreur d’avoir confié mon écrit à cet homme qui ne cherche que des problèmes. Comme j’avais promis de ne pas publier ma recension, je ne le fais pas. Je me contente de publier un seul élément de toute la correspondance échangée qui démontre en quoi Maurice Gligli fabule. TEDANGA Ipota Bembela »


Annexes
L'intérêt de Maurice Gligli est de m'opposer à M. Cibalabala. C'est pourquoi je ne publie pas toute la correspondance échangée, même si elle eut été utile pour clouer le bec au maître chanteur. Voici la preuve que le maître chanteur est prêt à sauter sur la moindre occasion pour m'opposer à mon compatriote; lisez, s'il vous plaît, le courriel suivant envoyé presque instantanément par Gligli au monet où j'aménagais mon blog:
De mouta w maurice gligli (maurice_mouta@yahoo.fr)
Date : mar. 24/03/09 17:34
A : mcibalabala@hotmail.com;
tedanga@hotmail.com

" Monsieur Léonard,
Je vous prie de cliquer sur le lien ci -joint. Vous y lirez vos échanges privés avec (...) Tedanga à propose de votre livre. Sa manoeuvre vise à vous"mettre à genoux".Vos mails restent personnels".
1

Cher Cibalabala,


Tu m’as sollicité pour faire un compte-rendu de ton roman. J’y ai travaillé et suis dans l’obligation de ne pas continuer (...). Je n’ai lu et analysé que les 25 premières pages. Daigne trouver ci-après la vingtaine de pages d’observations, même si je n’ai pas tout recensé. (...) Un ami qui ne te dit pas ouvertement ce qu’il pense n’est pas un ami, c’est un hypocrite.

Ton ami Tedanga
2

RE: Votre fiche-auteur sur www.harmattan.fr‏
De :ipota bembela tedanga (tedanga@hotmail.com)
Envoyé :mar. 24/03/09 15:21
À : mutshipayi cibalabala (mcibalabala@hotmail.com)

M. Mutshipayi Kalombo Cibalabala,

Je ne comprends pas le bien fondé de l'envoi de votre curriculum vitae que je connais un peu. Moi, j'ai, à votre demande, apprécié votre texte et vous ai envoyé mon avis. J'ai commis l'erreur (je le reconnais) d'avoir remis ce texte à Maurice Gligli, erreur pour laquelle je présente mes excuses si tant est que vous puissiez me la pardonner. Je maintiens bien entendu mon appréciation de votre texte telle que je l'ai faite (...) Vous savez bien que je n'ai pas tout analysé et que je n'ai pas inséré toutes les remarques que j'avais actées. Nous sommes là au niveau de la science. Je n'ai jamais contesté votre biographie et ce n'était pas l'objet du travail que vous m'avez demandé. Je vous prie de ne pas vous laisser manipuler par cet escroc qui, en réalité, voulait que je lui cède le texte afin qu'il s'attribue la paternité de la critique et qu'il s'en glorifie. Le Belge Maurice Gligli n'est jamais bon que quand il s'agit de nuire à son prochain. Je me suis opposé à cette tentative parce que, à notre niveau, nous nous étions convenu pour que je ne publie pas le document. Si j'avais cédé, il vous aurait anéanti sur la place publique. A présent, il vous dit le contraire. Faites attention! Vous ne le connaissez pas. Renseignez-vous. Il y a des gens de votre entourage qui le connaissent bien. Renseignez-vous. Il ne peut pas vous utiliser pour assouvir sa haine contre moi. A votre âge, ce n'est pas un tel pantin qui peut vous manipuler. Je n'ai que faire de votre biographie, mon cher. J'ajoute que j'ai commis une faute à votre égard en permettant à Maurice Gligli de prendre connaissance et de détenir une copie de ma critique. Voyez l'usage qu'il en fait. Il vous incite à user de la violence contre moi. Il fait la même chose avec le Ministre Mende. Togolais, Togolaises, vous avez là la preuve que cet homme est dangereux, plein de haine. Si vous lui confiez le pouvoir, il fera des dégâts alentour. Quand il a la possibilité de faire du mal, Gligli jubile comme un requin qui sent l'odeur du sang. C'est pourquoi j'ai demandé à mon avocat de saisir le procureur du roi et le juge d'instruction pour cette incitation au meurtre. Le haineux Gligli paiera pour toutes ces violations de la loi.


Tedanga
Conscient du tort que je vous ai causé en cédant une copie de ma critique au maître chanteur Maurice Gligli.
Postscriptum
Ce mardi 24/03/09 à 17:36, j’ai reçu de Maurice Gligli un courriel dans lequel il écrit ceci :
« N 'EST PAS TOI QUI MA PARLE DU LIVRE DU SIEUR Cibalabala ? OU EST CE QUE JE CONNAIS CE MONSIEUR?POUR TON INFORMATION, LA PLUPART DE MES RECENSIONS SE FONT A PARTIR DES LIVRES DES EDITIONS L'HARMATTAN..MYTHOMANE ET CRAQUEUR. POURQUOI PROPAGES TU UN MAIL DESTINE A TOI ET A MONSIEUR CIBALABALA? »

Mes réponses :

· Non, je ne lui en ai pas parlé. Il n’a pas besoin de moi pour savoir ce qui se passe. Il furète partout.
· Si, comme il écrit, la plupart des recensions qu’il fait concerne des livres publiés chez L’Harmattan, cela signifie que son intérêt ne s’arrête pas aux livres publiés chez L’Harmattan.
· Je divulgue cette correspondance pour montrer au monde cette autre face hideuse de ce personnage : il instigue au meurtre et il ne peut pas s’empêcher de mêler d’autres personnes à un problème qui ne les concerne pas.