vendredi 13 mars 2009

Maurice Gligli Escroc politique et Assassin de son Oncle Tavio Amorin?

Maurice Mouta Wakilou


Escroc politique, Cas pathologique et Assassin de son oncle Tavio Amorin ?

Suite à mon courriel lui annonçant la rupture de mes relations avec lui, M. Maurice Mouta Wakilou Gligli m’a envoyé une pluie de courriels au contenu insultant, infamant, mensonger, etc. Il me traite entre autres d’escroc politique sans qu’il n’explique en quoi je le serais. Je voudrais, moi, sur la base d’un courriel que m’a envoyé ce monsieur amener le lecteur à se poser la question de savoir si M. Maurice Gligli n’est pas un escroc politique.

Partons donc du document 1 repris plus bas. C’est le courriel que j’ai reçu de qui vous savez le 01/12/08 à 8h37 et qui se rapporte à son projet de livre dans lequel, sans me consulter, il me nomme « préfacier ». Dans le texte de présentation de l’auteur, M. Maurice Gligli se présente comme étant un réfugié politique résidant en Belgique. Cela est totalement faux car Maurice Gligli est naturalisé Belge. Dans sa communication destinée aux Togolais et à d’autres, il n’assume pas le fait qu’il n’est plus réfugié politique et qu’il est Belge. Comment devrait-on qualifié un politicien qui dissimule ce qu’il est et se fait passer pour ce qu’il n’est pas ou n’est plus ? La Belgique qui a gracieusement accordé la nationalité belge à ce monsieur appréciera de voir comment ce monsieur la renie.

J’invite le lecteur à lire patiemment le document 2. Maurice Gligli a déclaré dans un des courriels que j’ai reçus de lui que moi, j’ai du sang sur mes mains. Aucun Congolais ne croira une telle chose parce que je n’ai jamais été mêlé à quoi que ce soit ni dans mon pays ni ailleurs. Par contre, dans un courriel repris dans le document 2, un contradicteur du Belge Maurice Mouta Wakilou Gligli affirme que ce monsieur (Mouta Wakilou Gligli) est un cas pathologique et/ou un assassin de son oncle Tavio Amorin. C'est Mouta Wakilou Gligli qui le rapporte lui-même. Voilà une ou des accusations concrètes portées contre celui qui se croit autoriser à attenter à mon honneur. Maurice Gligli se dit héritier de Tavio Amorin. S’il était vrai qu’il a été son assassin, alors on serait au comble du cynisme et de l’escroquerie politiques.

En partant donc d’un courriel que M. Maurice MoutaWakilou Gligli m’a envoyé le 4/12/08 à 1 heure 23 et que j’ai archivé, je relaie les affirmations ou les questions que se pose Maurice Gligli lui-même à son propre sujet ou que se posent ses contradicteurs (dont un certain Maurice Evaglo) à son sujet, à savoir Maurice Mouta Wakilou Gligli est-il un fou, un cas pathologique ou voire un assassin de son oncle Tavio Amorin ?


Dans ce courriel datant du date du 2.12.08 et que m’a transmis à l’époque Maurice Gligli, un certain Mitronunya Eloi Koussawo (eloikoussawo@ yahoo.fr) se plaint du même Maurice Gligli en ces termes : « Par ailleurs, je voudrais qu'il arrête d'appeler ma femme et tenter de semer la zizanie, voire de menacer de lancer à mes trousses des jeunes voyous maghrébins ».

J’ai tous les liens me permettant de prouver que c’est Maurice Gligli qui m’a transmis tous ces textes et que donc je n’invente rien, que, en réponse à tout ce qu’il diffuse sur moi, je ne fais que relayer les questions que l’on se pose ou qu’il se pose lui-même à son propre sujet. Quand on lit la qualité de la littérature qu’il répand contre moi et la bassesse des propos, on ne peut que se poser ce genre de questions. J'ajoute cette descrption de Maurice Gligli faite par un internaute dans le forum iciLomé: "Mouta je le savais est un individu pathologique (malade dans la tête) qui vit dans la mégalomanie et le rêve. Pour lui le paraître est un code de conduite, peu importe d'être. C'est dommage et méprisable de passer une vie entière à rêver de grandeur en salissant les autres".

Annexes





Document 1





PROJET DE LIVRES‏
De :
mouta w maurice gligli (maurice_mouta@yahoo.fr)
Vous ne connaissez peut-être pas l'expéditeur.AutoriserBloquer
Envoyé :
lun. 01/12/08 08:37
À :
ipota bembela tedanga (tedanga@hotmail.com)

1 pièce(s) jointe(s)

GLIGLI1.doc (51,8 Ko)
Mouta W Maurice GLIGLI rue de l'Hectolitre 22/7 B- 1000 Bruxelles. (BELGIQUE) Tél +32 477 71 93 37
MOUTA WAKILOU MAURICE GLIGLI-AMORIN

Un autre regard sur l’Afrique
À partir de réflexions et analyses politiques

Préface Du Professeur Ipota Tédanga Camille

Editions L’Harmattan 2008



Le texte de dos du livre



Projet de rédaction



PHOTOS





GLIGLI Mouta Wakilou Maurice est un démocrate togolais qui vit en exil à Bruxelles depuis 16 années. Il a été militant de première heure du PSP de Tavio Amorin, le panafricaniste visionnaire.
Depuis plus d’une quinzaine d’années, il préside le Cercle International Nkrumah Kwame à Bruxelles en Belgique. Réfugié politique togolais en exil, il continue d’appuyer le mouvement démocratique togolais et panafricains à travers toutes formes de manifestations politiques : animateur des émissions africaines sur des radios libres de Bruxelles, organisateur de débats, conférences, actions de rues, Editorialiste de l’actualité politique africaine en générale et du Togo en particulier.
Gligli Mouta est Educateur et père de 5 enfants.




Document 2







Mouta Gligli : cas pathologique ou assassin de son oncle Tavio Amorin ?
FW: ‏
De :
maurice mouta (moutawakiltg@hotmail.com)
Envoyé :
jeu. 04/12/08 01:23
À :
Vieux Camille (tedanga@hotmail.com)



Mouta Maurice GLIGLI rue de l'Hectolitre 22/7B- 1000 Bruxelles. (BELGIQUE)Tél +32 477 71 93 37From: moutawakiltg@hotmail.comTo: henriagbo@hotmail.comSubject: Date: Thu, 4 Dec 2008 02:20:51 +0100



A TOUS ET A CHACUN QUI MAVEZ COMPRIS ET INCOMPRIS JE DIS MA RECONNAISSANCE ET MON ADMIRATION SEUL DIEU EST GRAND MAITRE SELON VICTOR HUGO.LUI SEUL MON GRAND.ARCHITECTE DE L UNIVERS DEVANT QUI JE MAGENOUILLE ET DEMANDE PARDON POUR MES MMANQUEMENTS DE MEME POUR CEUX QUI NE NOUS AIME PAS ET POUR TOUS CEUX QUI NOUS AIMENT. QUIE DANS SA BONTE ET DANS SA MISERICORDE IL GARDE CHACUN DE NOUS EN BONNE SANTE POUR LA VICTOIRE DES FORCES DU BIEN SUR LE MAL .ON DETRUIT LE MAL ET LERADIQUE.ON NE REFORME PAS LE MAL. UN MAL RESTE UN MAL.ON NE JOUE PAS AVEC LE DIABLE.REMUEZ VOS MENINGES VOUS VERREZ LES EXEMPLES DE DERNIERE MINUTES. MERCI A JOEL ET A DOCTEUR GALLEY A TOI JUSTIN ALOFA LE COMPAGNON ET LAMI FIDELE LE COMPLICE DE TOUS LES TEMPS POUR LA VICTOIRE DES PEUPLES TOGOLAIS LA LUTTE CONTINUE





PARIS CE 1 er Décembre en la fête du Saint Patron Eloi
--- En date de : Mar 2.12.08, Eloi Koussawo a écrit :
De: Eloi Koussawo Objet: RE: [alternativetogo] DEVOIR DE MEMOIRE.version remaniée À:





Bonjour,





Je voulais garder le silence. Seul, il me paraissait capable de traduire mon dégoût. Mais s'il allait être compris comme du mépris aux hommes "bien disposés à s'impliquer dans cette affaire POUR DU BIEN" ? Ignoble me serait alors la seule apparence de l'Indifférence vis-à-vis de ces bonnes volontés. Je saisis donc cette occasion pour dire que je suis POUR une confrontation. Elle me permettra de démonter, devant témoins, le mécanisme d'une machination grotesque et infâme. Par ailleurs, je voudrais qu'il arrête d'appeler ma femme et tenter de semer la zizanie, voire de menacer de lancer à mes trousses des jeunes voyous maghrébins.




Mitronunya Eloi Koussawo.---






En date de : Lun 1.12.08, Celse Kafui Amédin a écrit :
De: Celse Kafui Amédin Objet: RE: [alternativetogo] DEVOIR DE MEMOIRE.version remaniée
De : alternativetogo@ yahoogroupes. fr [mailto:alternative togo@yahoogroupe s.fr] De la part de mouta w maurice gligliEnvoyé : 1 décembre 2008 07:16





DEVOIR DE MEMOIRE.




Où en est le mouvement democratique togolais en Belgique 16 ANS APRES ?



Lettre ouverte à celui qui a désigné Mouta comme l’homme à abattre.



Jusqu’à quand « Il » aura le courage de ses idées et de signer avec courage ses actes ? Ce sont bien souvent les assassins qui ne signent pas leurs actes. Chaque fois, « Il » me poignarde dans le dos et en toute sincérité lorsqu’ « Il » vient vers moi, je fais la paix avec lui. Pas plus tard que lors de la messe organisée le 22 novembre dernier à la mémoire de Tavio, « Il » est venu vers moi pour me faire l’accolade (baiser de Judas ?). Dans le compte rendu de cette cérémonie, nous avons mentionné sa présence et diffusé la photo de groupe sur laquelle il figure. Au Colloque Tavio, je lui ai fait donner la parole. J’ai toujours assumé mes actes. Sans crainte. D’où le nom de mon journal KANLENTO-AVULETE que je tiens avec mes maigres moyens depuis 16 ans. J’ai toujours cherché à faire avancer la lutte, ce que j’avais compris comme notre lutte commune contre la dictature qui a pris notre pays en otage. Contrairement à ce que certaines « bonnes âmes » de la communauté ont colporté sur moi, je n’ai jamais cherché à me mettre en scène mais à prendre ma place dans le combat pour l’instauration de la démocratie au Togo et ailleurs en Afrique. Alors que d’autres ont choisi de se faire photographier dans leur quête de promotion. J’ai toujours cherché à aider nos compatriotes en difficultés. Pendant que certains ont mis leur force et leur intelligence dans la collaboration avec les autorités belges pour refuser à des citoyens togolais le statut de réfugié. Certes ma vie n’est pas une vie facile et toujours réjouissante. Non. J’ai conscience que ce n’est pas la vie que j’aurais souhaité avoir. Comme ça l’est pour des millions d’hommes et de femmes. Mais je ne vis pas dans la haine de l’autre. Je ne me lève pas en échafaudant des projets pour nuire à mon prochain. Pour quel résultat?
A celui qui s’évertue à faire dire de moi que j’ai été mêlé à l’assassinat de Tavio, je réponds par le mépris en lui demandant si je m’appelle Karewé ou Boukpessi. L’histoire de notre pays est à écrire. Un jour, les langues se délieront et on apprendra qui a fait quoi. Ce jour-là, beaucoup de ceux qui s’agitent aujourd’hui se feront tout petits tant ils ont contribué à opacifier notre lutte, à la pervertir en servant des objectifs qui ne sont pas ceux de notre cause commune.
La communauté est un ensemble d’hommes et de femmes que le destin a réunis. Chacun avec ses qualités et ses défauts. Certains dans la communauté auraient été pires que Etienne Eyadéma s’ils avaient eu à exercer le pouvoir d’Etat. Parce que ce qu’ils nous ont donné à voir dans leur petite vie de militants ou de responsables d’association est tout simplement ahurissant ; cynisme, médisance, méchanceté, confiscation de mandat de responsable, autopromotion etc, etc. Le règne d’Etienne Gnassingbé Eyadéma, son trop long règne, a donné naissance à des comportements pervers. C’est ainsi que nous nous retrouvons avec des petits chefs, des tyranneaux qui ont ingéré sa culture du pouvoir à tout prix. Sortir d’Eyadéma est un défi pour nous tous ! Que ceux que mon engagement politique dérange se rassurent ! Je ne suis pas un salarié de la lutte. Je ne revendique rien. Ni honneur ni reconnaissance de quiconque. Mon « carburant », ce sont mes convictions. Et elles sont au-dessus des petites attaques des uns et des autres, dois-je dire de celui qui semble redouter ma présence dans notre communauté? Il m’arrive de m’interroger sur la bêtise humaine. Je n’ose pas imaginer certains compatriotes avec des armes, tant ils portent en eux la haine des autres. « Il » m’a traité de fou. Au fait, le fou, n’est-ce pas celui qui reste au bord de la rue, qui regarde et qui observe tout ? J’assume ma folie. Comme Thomas Sankara qui disait que pour effectuer des grands changements fondamentaux, il faut une certaine dose de folie. Et plus tard comme Tavio qui déclara: « Alors si c’est pour cela qu’on me traite de fou, j’accepte ma folie et je l’assume ». Honte à vous, honte à celui qui n’ose pas affronter son (ses) contradicteur( s) au cours de débats publics. Honte à vous, honte à celui qui a choisi la perfidie et la félonie comme mode de fonctionnement et de combat ! Nous nous proclamons « démocrates » parce qu’opposants. Alors que nous avons des méthodes aussi ignobles que celles des hommes que nous prétendons combattre. Pauvre Togo : Dieu, viens à notre secours. Préserve-nous de ces cheffaillons qui n’hésiteront pas à nous occire tout simplement parce que nous les dérangeons. Il ya un temps pour tout. On ne peut pas semer et chercher à récolter le même jour. A vouloir tout tout de suite, on devient une menace pour les autres, une menace pour soi-même. A celui qui est pressé d’arriver, je conseille la patience, l’honnêteté, l’humilité. Je lui demande, je le supplie d’oublier le « pauvre type » (mais avec un cœur énorme) que je suis. Je suis un makaya comme on le dit chez les Gabonais ! Avec l’article GLIGLI MOUTA UN CAS PATHOLOGIQUE et signé Maurice Evaglo, « Il » a atteint le trop plein. Il faut savoir arrêter ce combat obscur ou alors accepter un débat public pour régler les problèmes qu’ « Il » a avec moi. Pour ma part, je ne rends compte qu’à mes collaborateurs et à mon créateur. Dieu, Celui qui donne l’être, la vie et le soufflle. Je n’ai peur de rien. D’ou mon nom de plume Kanlean ou Kanlento. « Il » se reconnaîtra car il sait ce qu’il fait tous les jours contre moi.

Maurice Mouta Wakilou GLIGLI-AMORIN