jeudi 12 mars 2009

Réponses aux attaques de Maurice Mouta Wakilou Gligli

Réponse globale à
Maurice Mouta Wakilou Gligli,
homme dangereux, manipulateur, menteur, malhonnête, irresponsable, grossier et insolent

Si vous tapez mon nom TEDANGA sur google, vous tomberez sur une littérature que répand contre moi et depuis trois mois un monsieur répondant au nom de Maurice Mouta Wakilou Gligli, Belge d’origine togolaise. En attendant que la justice passe et pour ne pas laisser le lecteur seul face à des affirmations diffamatoires, mensongères, je suis contraint de répondre de façon globale à monsieur. Je le ferai en restant courtois et en donnant du « monsieur » à Maurice Gligli contrairement à l’insolence, à la grossièreté et à la bassesse de son langage. Comme il y a beaucoup à dire, je présente d’abord un texte liminaire où je résume le problème qui m’oppose à ce personnage. Puis par la suite et au fur et à mesure j’aborderai des rubriques particulières en renvoyant à chaque fois le lecteur vers des documents qui constituent les preuves de mes affirmations. Car contrairement à Maurice Gligli, je me garde de le diffamer et n’avance, pour le contrer, que ce qui est véridique ou établi.


1

Le fond du problème

Depuis de nombreuses années, j’apporte à Maurice Gligli ce que je peux appeler une assistance culturelle et intellectuelle. J’ai revu, corrigé, revisité un nombre incalculable de textes de ce monsieur : recensions de livres, pamphlets politiques, faire-part, mémoire de fin de stage, etc. Il m’a même sollicité pour que je lui rédige la biographie de l’actuel archevêque de Lomé et pour que je préface son soi-disant livre. Je dis soi-disant parce que ce projet de livres ne contient que des recensions sommaires d’ouvrages publiés aux éditions L’Harmattan, recensions en grande partie revues, corrigées, revisitées par moi-même. Je n’ai jamais facturé mes prestations à Maurice Gligli. Alors quand on assiste une personne de cette manière, que l’on utilise son temps pour l’aider, on est en droit d’attendre de sa part le respect et la gratitude.

Ayant vérifié grâce à une tierce personne, le Béninois Jean-Charles GOMES pour le nommer, que l’homme que j’aidais répandait à mon sujet et derrière mon dos des propos mensongers, diffamatoires et sachant qu’il utilisait le même procédé contre ledit monsieur Jean-Charles GOMES, comme j’y reviendrai, j’ai décidé de rompre avec Maurice GLIGLI. Je lui ai envoyé à LUI TOUT SEUL (Je le souligne) le courriel suivant :
« Rupture définitive des relations‏
De :
ipota bembela tedanga (tedanga@hotmail.com)
Envoyé :
lun. 08/12/08 18:09
À :
moutawakiltg@hotmail.com

Maurice,
A dater de ce jour, vous ne connaissez plus ni mon courriel, ni mes numéros de téléphone et ni mon adresse. J'ai pris la décision de rompre définitivement mes relations avec vous. Je détiens quelques-uns de vos livres. Comme je ne souhaite plus vous rencontrer du tout, je demanderai exceptionnellement à mon fils aîné de prendre contact avec vous pour vous remettre ces livres. Il est vrai que j'ai égaré une huitaine de livres du fait de mon absence prolongée de Bruxelles un moment et surtout des deux déménagements que j'ai faits. A ce sujet, je vous rappelle que j'ai fait beaucoup pour vous. Je détiens le classement de tout ce que j'ai fait pour vous en tant que nègre littéraire. Je ne vous ai jamais facturé alors que, comme vous le savez, ce genre de travaux coûte cher. Même si ces livres que vous recevez gratis pro deo pour en faire des recensions ne compensent pas le coût de tout ce que j'ai fait pour vous et étant donné que, dans la mesure où j'interviens dans la rédaction de ces recensions que vous signez, je peux me considérer en droit de vous réclamer une partie de ces livres, je vous propose de considérer cette huitaine de livres comme compensant partiellement la note que je ne vous ai pas présentée. J'ai rassemblé, dans un dossier, toutes les lettres que j'ai écrites pour vous avec les liens permettant de prouver que cela venait de vous. Ne m'appelez pas. Ne me demandez plus rien. Cherchez-vous un autre nègre. Ne me répondez pas. Attendez que mon fils vous contacte. Ce sera pendant le week-end parce qu'il travaille pendant la semaine.
Camille Tedanga »

En réponse à ce courriel adressé à lui tout seul, Maurice Gligli m’a envoyé en très peu de temps des dizaines et des dizaines de courriels méchants, insultants, diffamants, mensongers, courriels dont il a réservé des copies à moult personnes. Par la suite, je m’imposerai le déplaisir de recenser pour vous la panoplie de ces insultes physiques et morales, de tous ces propos diffamatoires et mensongers. Vu le tournant que prenait cette affaire et vu la quantité et la qualité des propos tenus par ce monsieur contre moi, j’ai pris la décision de déposer plus de six plaintes auprès du procureur du roi à Bruxelles pour diffamation et harcèlement. Mon conseil a saisi le juge d’instruction avec constitution de partie civile.

Voulant manipuler ses lecteurs, Maurice Gligli réduisait notre différend à une affaire de livres que, selon lui, je lui aurais escroqués ou volés. Bien entendu, je n’ai jamais ni escroqué ni volé des livres à ce monsieur. Pour me permettre de bien contrôler, revisiter, corriger et souvent réélaborer les recensions qu’il me soumettait et pour me faire plaisir, Maurice Gligli me prêtait (dans son intérêt) des livres qu’il reçoit gratis pro deo des éditions L’Harmattan grâce à un contact interne. Pour montrer au lecteur en quoi cet individu est menteur, je rétablis la chronologie de ce différend au sujet des livres de Maurice Gligli :

· J’ai eu un premier différend avec Maurice Gligli lorsque j’ai invité à manger à mon domicile un des intervenants à un colloque que ce bonhomme organisait à Bruxelles. Mais Maurice Gligli a réduit, comme cette fois, le différend à une affaire de livres. Devant témoins (dont ledit Jean-Charles GOMES), je me suis engagé à rendre à Maurice Gligli ses livres. Bon seigneur, je n’ai même pas soulevé le problème de la facturation de mes prestations.

· Se rendant compte de sa bêtise (on dit chez les Bantu : « On n’abat pas l’arbre qui vous a sauvé d’un buffle »), Maurice Gligli est venu s’agenouiller (je dis bien s’agenouiller) devant moi et en présence de mon épouse. Il demandait pardon et m’invitait à ne pas le laisser tomber. Suite à l’intervention de mon épouse qui me rappelait à l’occasion mon engagement religieux, j’ai consenti à lui pardonner. La pile des livres de Maurice Gligli était prête, mais cet homme a obstinément refusé de reprendre ses livres.

· Par la suite et par trois fois, Maurice Gligli m’a encore approvisionné en livres en fonction de ce qu’il me demandait de faire pour lui et aussi pour me faire plaisir, puisqu’il savait que je suis très curieux de nouveautés littéraires.

· Suite à cette dernière altercation, j’ai dès le départ proposé à Maurice Gligli de récupérer ses livres. Vous l’avez lu dans le courriel que je viens de publier. Mais comme Maurice Gligli m’a répondu par des insultes, des menaces physiques bien inventoriées et des propos inconcevables, je lui ai fait savoir que je déposais plainte et que je n’allais lui rendre ses livres que devant l’autorité judiciaire. Tout ceci est consigné dans les procès-verbaux de la police.

IL N’Y A DONC PAS D’ESCROQUERIE NI DE VOL DE LIVRES. D’ailleurs, dans les textes dont il m’abreuvé, Maurice Gligli se contredit constamment. Je vous réserve une rubrique que j’intitule « Contradictions du sieur Gligli ».

Je me permets de mettre en garde tout celui qui viendrait à avoir un quelconque contact avec ce Belge d’origine togolaise. Ce bonhomme est méchant, menteur, manipulateur, nocif, etc. Ne le laissez pas entrer dans votre vie ou dans votre maison. Vous auriez à le regretter comme moi et comme d’autres. Quand il est chez vous ou avec vous, il furète, cherche tout ce qui peut lui permettre de vous nuire ultérieurement ou de vous faire chanter.
TEDANGA Ipota Bembela

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire