lundi 30 mars 2009

L'impudence du Belge malgré lui Maurice Mouta Wakilou Gligli

L’impudence de Maurice Mouta Wakilou Gligli

Quand on est ou qu'on a été un simple animal reproducteur, qu’on n’a jamais été un père, qu’on a abandonné ses enfants, qu’on n’a pas voulu en reconnaître un, qu’on a envisagé même de renoncer à sa paternité pour ne pas avoir ses enfants à sa charge ; quand on a fait qu’insulter et engueuler la maman de ses enfants en présence de ceux-ci, qu’on s’est comporté avec brutalité en présence de sa progéniture, on est mal placé pour donner des leçons. Père fantôme, Maurice Gligli n’a même pas eu l’occasion d’être ne serait-ce que mauvais parent puisqu’il a abandonné ses trois derniers enfants et qu’il ne vit pas non plus avec les deux premiers. Le Belge malgré lui ne peut pas produire les preuves comme quoi il a participé ou participe encore à l’éducation de ses deux premiers enfants. Un tel homme peut-il donner des leçons à ceux qui ont le mérite de s’être occupés de leur descendance ! J’entends encore Maurice Gligli geindre :

From: moutawakiltg@hotmail.com
Subject: bonjour Vieux
Date: Fri, 21 Nov 2008 04:38:28 +0100
Encore une fois merci de m'avoir accompagné revoir mes enfants. Vieux, permets moi de te dire ce qui suit C'est moi qui a encore le couteau dans la plaie. C'est moi qui vis tout dans tout mon être. La maman et la grand-mère de mes trois derniers enfants m'ont a vie. Pendant au moins une bonne dizaine d’années, je dois payer les nombreuse banques auxquelles je dois de l'argent. Partout, je suis au rouge. Alors me demander de revoir de revoir mon attitude? Je me demande sous quel angle? Me faire piéger pour m'abattre pour de bon? ou quoi d'autres?? Je ne suis pas un intelligent, je ne suis pas une bête, je ne suis pas non plus un con. Mais je suis un fou que la maman et la grand-mère de mes trois derniers enfants ont mis dans la rue. Non mon cœur saigne avec cette histoire............. Tout le malheur qui m'arrive et qui peut être va encore s'empirer bientôt des la reconnaissance du troisième enfant vient du fait que j'ai fait des enfants avec cette femme. Tout mon malheur vient de là. Quelle garantie ai- je ? Quelle assurance ai-je?

Bien à toi

Mouta Maurice GLIGLI
rue de l'Hectolitre 22/7
B- 1000 Bruxelles.
(BELGIQUE)Tél +32 477 71 93 37
Ami(e)s internautes,
Un tel homme peut-il donner des leçons dans ce domaine?
TEDANGA I.B.

Le Belge malgré lui Maurice Mouta Wakilou Gligli est-il normal?

Ami(e)s internautes,

A mon corps défendant, je suis obligé de rendre les coups que me distribue sans raison le Belge Maurice Gligli. Le titre de cette intervention est formulé par moi sous forme d'une interrogation. Mais sous la plume d'un intervenant d'icilome (26 au 27 mars 2009), c'est une certitude comme vous pouvez le lire dans ce court paragraphe qui résume la personnalité de cet individu sans limites:

"Ce Mouta Gligli est un zéro à multiplier par zéro. Sans doute qu'il a un sérieux problème mental (...) Tenez: il était en brouille avec un compatriote à Liège, et Mouta va jusqu'à insulter le handicap physique de l'enfant mineur de ce compatriote (...) Ce jour-là, j'avais les larmes aux yeux et j'ai compris que Mouta n'est pas normal."
Et dire qu'un tel individu prétend devenir président du Togo! Pleure ô le Togo de nos Ancêtres!
TEDANGA Ipota Bembela

dimanche 29 mars 2009

Un grand merci aux amis internautes d'icilome

Ami(e) internautes,

Vous pourriez un jour avoir affaire (qui sait?) au Belge malgré lui Maurice Mouta Wakilou Gligli. Alors vous avez intérêt à lire l'appréciation qui se dégage des propos de ceux qui le connaissent bien. La justice du Dieu de nos Ancêtres permettra de triompher de toutes les injustices dont m'accable Maurice Mouta Wakilou Gligli. Je vous laisse lire les réactions de nos ami(e)s internautes d'icilome sur Maurice Gligli. Ils sont déchaînés:

icilome
Du 26 au 27/3/2009
(Nous avons piqué les passages les plus croustillants. Il est loisible à qui veut lire tous les propos consignés de se référer à icilome pour la date reprise ci-dessus)

· Le Docteur TEDANGA Ipota Bembela (...) écrivait, pour Mouta Gligli qui lui demandait, les comptes rendus des livres. Un différent oppose actuellement Mouta à cet honorable professeur. La bassesse qui se dégage des écrits publiés par Mouta sur son blog (gligli mouta. afrikblog .com) est indescriptible. En face des critiques, il était obligé de supprimer certains écrits des égouts et des passages puérils. Le docteur TEDANGA qui a porté plusieurs plaintes (en cours) contre Mouta Gligli pour diffamation, a décidé de rétablir une vérité en attendant le procès. Le lien ci-dessus est la réaction du Dr TEDANGA publiée sur son blog et sur diastode.org le 15 mars 2009 en réponse aux torchons de Mouta Gligli. Il est intéressant de lire les autres articles figurant sur la page de ce lien (à droite) pour mieux cerner le personnage Mouta Gligli.

· Cher ami Mouta, J'aurais bien voulu te défendre en faisant l'avocat du diable, mais après avoir analysé ces écrits, et après avoir visité une fois encore ton blog, franchement je ne pouvais pas le faire. Mon refus de te défendre est largement justifié, car je t'ai toujours dit de ne pas t'en prendre aux gens comme tu as l'habitude de le faire. Regarde ce que tu as fait injustement contre ... (celui dont tu dis qu'il occupe le terrain belge, et que pour que tu sois crédible et présidentiable, il faut le discréditer). Souviens-toi de ce que notre vieil ami t'a dit. Oui, mon cher ami, la justice divine existe ! En outre, sachant que le vieux Camille connait de fond en comble ta vie privée qui, entre nous, n'est pas glorieuse, tu as commis une grave erreur de l'attaquer. Un conseil d'ami: va demander pardon au vieux Camille TEDANGA pour enterrer cette affaire. J'ai appris que la maman de tes trois derniers enfants s'apprête à rentrer en jeu contre toi pour tout dévoiler. Imagine la suite. C'est pour ça que je t'ai envoyé un mail, mais tu refuses de me répondre, sans doute parce que je ne te défends pas publiquement. J'ai ma conscience tranquille. Je ne suis pas du tout content de ce qui t'arrive. A un ami on doit dire la vérité: tu as tort sur toute la ligne. Pour finir, On dit chez nous : " Nkpinvi nyowu Nkpinga" (Une petite honte vaut mieux qu'une grande honte), alors va voir vieux Camille pour demander Pardon, et appelle Francine pour la calmer. Dis-lui que dès que tu trouveras un boulot, tu t'occuperas des enfants. La nuit porte conseil ! H. Merci professeur !

· Merci de nous permettre de mieux cerner l'individu Mouta qui ne cesse de polluer des sites, et qui veut donner des leçons au RPT dont il a été le responsable de sa jeunesse (JRPT, scolaire) à Tsévié. Au moins pour une fois, le débat est clair, le jeu est net ! Mouta croit qu'il peut diffamer tout le monde en toute impunité. Professeur, encore MERCI pour l'éclairage !!!

· Ce Mouta Gligli est un zéro à multiplier par zéro. Sans doute qu'il a un sérieux problème mental. Ne perdez pas votre temps pour lui. Laissez le Congolais lui régler ses comptes.Tenez: il était en brouille avec un compatriote à Liège, et Mouta va jusqu'à insulter le handicap physique de l'enfant mineur de ce compatriote (...). Ce jour-là, j'avais les larmes aux yeux et j'ai compris que Mouta n'est pas normal.

L'infraction est individuelle IIè partie

TEDANGA Ipota Bembela Bruxelles le 29 mars 2009.-
Avenue Nouvelle 171/381040 Bruxelles
Tél. 0488 423 322

Copie pour information :

- Monsieur le procureur du roi
- Maître Kévin Mannes
Avocat au Barreau de Bruxelles

Objet : Imputation calomnieuse, Monsieur le Directeur du journal La Dernière Heure,
diffamation et atteinte à la vie
privée

Monsieur le Directeur,

Si vous tapez mon nom (Tedanga) sur le moteur de recherche internet Google, vous tomberez sur un article intitulé « abuseur » qui vous conduira au blog d’un certain Maurice Mouta Wakilou Gligli. Sur ce blog, vous pourriez cliquer sur l’article Tel fils, tel père ? et vous trouverez le document ci-dessous dont je vous reproduis le titre :

TEL FILS, TEL PERE ???
(Photo de Tedanga)

Archives JOURNAL La dernière heure

Journal

Archives >

Date: 12/04/2002Section: REGIONSous Section: BRUXELLES

Il viole la fille de ses amis


Le contenu du texte comprend le commentaire d’un journaliste de votre organe d’information sur l’arrêt de justice condamnant mon fils MUPOY Baondjo Tedanga pour fait de viol sur une mineure. Mais l’article tel qu’il est présenté sur le blog de ce M. Maurice Mouta Wakilou Gligli s’intitule Tel fils, tel père ? suivi de ma photo et de la mention « Archives du journal La dernière heure ».

Comme vous le comprenez aisément, ce document est présenté comme sorti des archives de votre journal et pose à mon détriment la question de savoir si je ne suis pas tel que mon fils, autrement dit si je n’ai pas violé une mineure et n’ai pas été condamné à cet effet. Ceci est évidemment hautement dommageable pour moi car je ne me suis pas rendu coupable de tels faits.

C’est pourquoi je vous écris pour vous poser la question de savoir si vous avez dans vos archives un tel document comportant ma photo et celle de savoir pourquoi vous m’auriez mêlé à ce problème qui ne concerne que mon fils qui est adulte. J’aimerais que vous daigniez me répondre au plus vite afin que je sache qui attaquer : vous ou de toute manière Maurice Mouta Wakilou Gligli. Si vous ne m’avez jamais associé à cette affaire comme cela émane du blog de M. Maurice Mouta Wakilou Gligli, il vous est loisible de vous retourner contre ce monsieur. Dans tous les cas, j’aimerais que vous me fixiez.

En démocratie, l’infraction est individuelle. Mon fils a fauté, il a été condamné et a payé sa dette envers la société. Si en plus vous m’associez au titre simplement que je suis son père, il y a là amalgame et diffamation et donc je devrai saisir le procureur du roi dans l’urgence.
Agréez, Monsieur le Directeur, l’assurance de toute ma considération.


TEDANGA Ipota Bembela




samedi 28 mars 2009

L'infraction est individuelle

L’infraction est individuelle

Lors d’une cérémonie coutumière africaine à Bruxelles, j’avais retrouvé il y a peu une vieille connaissance non congolaise qui a fait carrière dans un organisme international puissant. Un homme d’une droiture exceptionnelle ! Dès qu’il m’a reconnu et en souvenir du vieux temps, il m’a pris à l’écart et s’est mis à pleurer. Impressionnant lorsque l’on voit un homme d’une telle stature fondre en larmes. Six enfants, malgré son amour et celui de madame son épouse pour ces enfants et malgré tant de moyens financiers engagés pour leur éducation et leur instruction, au bout de la course un seul enfant termine les études universitaires, les cinq autres ayant mal tourné. Et comme le malheur ne vient jamais seul, au lendemain de la fête en grande pompe du diplôme de ce fils, ce dernier fut arrêté et condamné pour viol. De quoi occasionner le suicide des pauvres parents! Heureusement mes amis ont tenu le coup. Devant moi, le papa a pleuré à chaudes larmes et, pour le consoler, je lui ai raconté mon propre cauchemar. Je lui ai raconté le cauchemar de quelques-uns de nos amis et collègues communs de l’université dont les enfants n’ont pas suivi le modèle des parents. Une dame qui vivait ce drame proposait un jour de créer une association pour parents maltraités par leurs enfants.

Vous êtes peut-être un parent ayant connu des déboires dans l’éducation de nos chers enfants ici en Europe, espace où nous avons immigré. Vous êtes nombreux, je le sais, mères et pères congolais ou d’ailleurs en Afrique à avoir vécu ou à vivre cette souffrance. Des hautes personnalités (Chefs d’Etat, chefs d’entreprises, de grands professeurs d’université, des gens ordinaires et que sais-je encore) ont pleuré comme mon collègue et comme moi. Vous êtes peut-être de ceux et celles qui avaient vécu ce phénomène et vous nous comprenez, mon collègue et moi, cinq sur cinq.

Vous avez pu lire le Belge malgré lui Maurice Gligli qui m’attaque en affichant sur son blog le commentaire d’ailleurs inexact d’un journal belge sur l’arrêt d’un tribunal condamnant MUPOY Baondjo Tedanga qui est effectivement mon fils. Vous accueillerez cela avec mépris. En lingala, langue congolaise, on dit : « Oboti mwana kasi oboti motema mwa ye te » pour dire « Vous avez mis au monde un enfant, mais vous n’avez pas mis au monde son cœur ». Interprétons cela pour dire que les parents ne sont pas toujours maîtres de ce que deviennent leur progéniture. A fortiori lorsqu’il s’agit d’enfants adultes qui, loin de leurs parents, choisissent de basculer sans écouter leurs conseils.

Il y a un principe inaliénable de la démocratie qui dit que l’infraction est individuelle. Devant la loi, ce sont nos enfants qui ont été condamnés et ce n’est pas nous. Le procédé de ce monstre de Maurice Gligli qui, à court d’arguments, essaie de me faire porter le fardeau de la condamnation de mon fils est évidemment malhonnête. Je ne compte plus les attaques de ce bonhomme contre ma vie privée. En réponse, je l’ai attaqué sur son irresponsabilité par rapport à ses enfants mineurs, ceux pour qui sa responsabilité pénale est engagée. L’abandon d'enfants mineurs par un parent est un délit passible d’une condamnation pénale et c’est cela, comme on peut le prouver, dans le cas de Maurice Gligli. Dans mon cas par contre, il s’agit d’un enfant majeur qui a engagé sa responsabilité, qui a été puni par la société et qui a donc payé sa dette. Ce n’est pas moi : mon casier judiciaire n’est pas sali par la condamnation de mon fils adulte. Maurice Gligli, lui, a été condamné au civil à la saisie de ses salaires. Il devrait être condamné au pénal pour l’abandon de ses enfants. Nos deux cas ne sont pas semblables.

Gligli démontre une nouvelle fois qu’il est un petit monsieur. Tout en accueillant cela avec dédain, je transmets le dossier à mon conseil qui engage pour moi des poursuites contre Maurice Mouta Wakilou Gligli.

TEDANGA Ipota Bembela

vendredi 27 mars 2009

Maurice Gligli: Verba volant, scripta manent

Ami(e) internautes,

Je voudrais longuement réfuter cet autre propos mensonger et diffamatoire de M. Mouta Wakilou Gligli en vertu de ma volonté de ne point laisser ses accusations et diffamations sur la toile sans leur opposer ma version. Je demeure courtois quand je m’adresse à M. Gligli car telle est mon éducation. Voici l’affirmation de M. Gligli s’agissant de M. Lambert Mende, Ministre de l’information de la RDC, et de son livre intitulé Dans l’œil du cyclone :

« (…) j'ai fait une recension du livre de Mendé 'dans l'oeil du cyclone' que j'ai envoyé àTédanga pour relecture.Le pusillanime me supplie de faire autre chose car il a aussi des comptes à régler à Mendé.Pour ce faire, il aurait préféré rajouter des pan entiers d'arguties à mon texte ».

Je vais méthodiquement réfuter ce mensonge. Tout d’abord, je prie les internautes d’examiner la chronologie suivante :

· Le mercredi 21/05/08 à 11:26, Maurice Gligli me fait parvenir sa recension du livre de M. Lambert Mende Omalanga (Document 1)
· Le vendredi 06/06/08 08:51, Maurice Gligli m’envoie un texte reprenant ce que dit une certaine presse de Kinshasa à propos du livre de Lambert Mende (Document2)
· Même jour, réponse de Tedanga : «simple merci (Document 3)
· Le vendredi 06/06/08 à 14:13, le sieur Maurice Gligli envoie à Tedanga le compte-rendu du livre de Lambert Mende fait par Guy De Boeck.
· Le même jour, Maurice Gligli fait parvenir à Tedanga les statuts de l’AFDL.
· Le 10 décembre 2008, Maurice Gligli publie sa recension dans le site Togocity

Voici mon commentaire et ma réfutation basée sur des documents incontestables :

Comme d’habitude, Maurice Gligli m’a fait parvenir sa recension pour que je la lui corrige. Il m’a aussi fait parvenir de la documentation pour que j’améliore son texte. Du 21 mai 2008 au 10 décembre 2008, Maurice Gligli n’a reçu de ma part aucun courriel indiquant que j’allais enrichir son texte en vue de nuire à M. Lambert Mende Omalanga. Il ne détient aucun écrit de moi allant dans ce sens. Quand Maurice Gligli publie-t-il sa recension non revue par moi ? Le 10 décembre c’est-à-dire deux jours après que je lui ai envoyé mon courriel pour rompre toute relation avec lui comme vous pouvez le lire dans le document 6. Autrement dit, de mai à décembre 2008, Maurice Gligli a patienté dans l’espoir que je lui améliore son texte. Pourtant je lui avais indiqué clairement que je ne voulais pas toucher à ce texte. Si, comme Maurice Gligli le déclare, je l’avais supplié pour qu’il accepte que je corse sa critique en vue de nuire à M. Lambert Mende, pourquoi l’ai-je fait attendre pendant plus de six mois ? Je me serais plutôt empressé, non? En tant que professionnel, il ne me faut que peu de temps pour pondre la critique d'un tel ouvrage.

Quand Maurice Gligli a compris que je n’allais plus rien faire pour lui, alors seulement il a publié sa recension. Pourquoi ment-il ? Ce n’est pas par amitié ou sympathie pour Lambert Mende qui se passe volontiers de son concours. S’il avait de l’amitié ou de la sympathie pour ce Ministre, il m’aurait dénoncé bien avant si tant est que j’aie prémédité quoi que ce soit avec lui. Il n’est pas difficile de démontrer que sa déclaration a à voir avec ma décision de ne plus l’assister. En outre et puisque de toute manière le progressiste Gligli critique Lambert Mende (voir son texte), n’est-il pas idéologiquement contradictoire et inexplicable qu’il dénonce un soi-disant complice dont il dit qu’il allait démonter le texte que lui-même critique avec tant de véhémence ? Un tel geste n’est-il pas ridicule, misérable ? Il se confirme que Maurice Gligli est un progressiste de pacotille.
Dans tous les cas, en m’ayant transmis des documents en vue de corser la critique du texte de Mende, l’homme devenait d’office mon complice si tant est encore une fois que j'aie eu cette intention que le maître chanteur Gligli m'impute. Il se trompe s’il croit pouvoir s’attirer les faveurs du Ministre congolais. Tout s’explique par la misère psychologique de Maurice Gligli et par sa volonté de toujours nuire au prochain.

En réalité, je n’ai jamais voulu faire un compte-rendu du texte de M. Lambert Mende Omalanga qui est au courant que j’en avais déjà discuté avec des personnes honorables dans un autre cadre. J’avais d’ailleurs clairement indiqué que je ne voulais pas m’atteler à l’étude de ce texte. Maurice Gligli auquel je n'ai pas à expliquer mes raisons ne le savait pas et n'avait pas à le savoir et c'est cela qui permet de le confondre. Voilà l'avantage de ne jamais s'abandonner devant un prsonnage de ce type et de préserver son secret d'être pour n'en laisser filtrer que ce que l'on veut qu'il sache, ce qui permet à présent de le mettre devant ses propres contradictions et de le confondre. Je n’ai qu’une parole et certains de ceux qui me lisent se souviendront de ma prise de position. Je connais personnellement M. Lambert Mende Omalanga, je le connais même très bien et, de par mes origines en RDC, je ne peux que le connaître même si nous ne sommes pas du même bord politique et que je n'ai rien à voir avec les événements que le Ministre traite dans son livre. Si j'ai à dire à l'auteur de Dans l'oeil du cyclone, je ne le ferais certainement pas en me laissant à mon âge manipuler par un agité comme Maurice Mouta Wakilou Gligli. Ce serait un scandale.

Je voudrais terminer: M. Gligli croit naïvement qu’il peut comme cela démonter le texte de Mende. C’est pitoyable et ce n'est pas dit. Maurice Gligli n’en a pas les moyens : il n’arrive même pas à la cheville du Ministre congolais. L'ouvrage a été préfacé par Evariste Boshab. C’est dire si ce texte est très bien encadré. Autour de Lambert Mende, il y a du monde que je connais et qui pourrait, à la place du Ministre, se charger de clouer le bec à cet impertinent. Si on ne répond pas aux stigmatisations de Maurice Gligli, c’est pour ne pas lui accorder une quelconque importance. Le démon Gligli est déçu car il n’a pu, comme il l’espérait, sous-traiter les capacités de son nègre.
Cet individu croit pouvoir s’attaquer à tout le monde. Est-ce que moralement il vaut mieux que les Mobutu, Eyadema, Mende … qu’il traîne dans la boue ? Quand on abandonne ses enfants pour ne pas avoir à payer la pension alimentaire et que l’on refuse de reconnaître le sang de son sang pour cette même raison, on est bon pour fermer son clapet. Quand il s'invente un Front Patriotique et des militants pour se faire soutenir à l'occasion d'une rixe ridicule avec un gamin que soi-même on a provoqué, quand il cherche à semer la zizanie entre un homme d'Etat et un privé sans mesurer les conséquences de ses actes, il n'est pas meilleur que ceux qu'il ose critiquer. C'est pourquoi je peux me permettre de pronostiquer que si, d’aventure, ce fou parvenait à avoir le pouvoir d’un Eyadema (fils ou père), il transformerait le Togo en un Cambodge africain. Gligli est un Polpot en puissance.

TEDANGA I.B.




Document 1
Mercredi 21/05/08 11:26

DANS L'OEIL DU CYCLONE‏

A première vue on penserait que Dans l’œil du cyclone est un polar wolywoodien. C’est plutôt un témoignage politique fait par l’un de ceux qui ont pris les armes en RDC et pour le compte de la rébellion RDC- Goma contre le pouvoir populaire de Laurent Désiré Kabila. Son auteur n’est autre que Lambert Mande connu pour son eccleptisme. D'entrée dans la préface on nous parle de « dettes de clarifications ? » dont l’auteur s’acquitte Dans l’œil du cyclone quelle aberration? Ici en occident, lorsque les nazis ont commis l’ignominie, ils ont été traduits devant les Tribunaux afin que justice soit faite. Tout simplement. C’est n’est qu’en Afrique que le droit n’est jamais dit pour les victimes de la barbarie et de la sauvagerie comme ce fut lescas dans la guerre d'agression en RDC. D'ailleurs Mande est contrarié de trop par le fait que Kabila met l’accent sur les chatiments et sanction à infliger aux voleurs et aux pilleurs.On penserait à cette maxime qui dit qui se sent morveux se mouche. Lorsqu’on a vécu dans sa chair l’agression dont le Congo a été victime comme le reconnaît l’auteur, on se doit de défendre sa patrie dans les rangs des patriotes, des amoureux du Congo afin que son beau pays ne soit pas dépiécé. Tel n’est pas le cas de Lambert Mande. Malheureusement. Il ne sert à rien de venir dénoncer des années bien plus tard les pays agresseurs alors que soi même on a été sous la coupe de ses pays agresseurs pour combattre le régime du président Kabila.Et les millions de morts?

Contenu du livre

On ne voit pas clairement le rôle que Lambert Mande a joué, il n’a pas le courage de situer ses propres responsabilités Ensuite, de Kabila , il ne dit que du bien .Mais alors pourquoi avoir choisi de le combattre ? Est-ce un effet de mode ? Dans le livre, il s’en prend au PTB et à son leader pour avoir influencé négativement l’orientation politique de l’AFDL
Mouta Maurice GLIGLI
Tél +32 477 71 93 37

Document 2
ven. 06/06/08 08:51
Il suffit de cliker sur ce lien
http://64.233.183.104/search?q=cache:LK3X9reHtc8J:www.congoforum.be/fr/congodetail.asp?subitem%3D21%26id%3D42453%26Congofiche%3Dselected+DANS+Lmouta w maurice gligli a écrit :
Vieux voici ce que dit une certaine presse de kinshassa a propos du livre de Mendé. Sur le site de Congo Forum il ya une site de guy de book tres laudateur. Bien a toi
Document 3ipota bembela tedanga a écrit :
Maurice,Merci beaucoup pour ces informations. A demain au mariage.
Vieux Camille
Document 4
Envoyé :
ven. 06/06/08 14:13
À :
ipota bembela tedanga (tedanga@hotmail.com)
1997 - 2003 "Dans l'oeil du cyclone" de Lambert MENDE
Recension de cet ouvrage parue dans "Dialogue", organe de l'asbl "Dialogue des Peuples". « Dans l’œil du cyclone.Congo-Kinshasa, les années rebelles1997-2003 revisitées », par Lambert MENDE Omalanga, Paris, l’Harmattan,Collection Comptes rendus, 280 p. 26,50 €.
Pendant longtemps, on a dit « Clio (la Muse de l’Histoire) est une personne respectable qui n’aiment pas que ses soupirants la serrent de trop prés ». Il fallait entendre, sous ces images fleuries, que l’histoire ne s’écrivait bien que quelques temps, et même de préférence longtemps, après les événements. En parler sur le moment, ou très (trop ?) vite après, c’était là du journalisme. .. Ce dernier mot était prononcé du bout des lèvres, avec l’air de s’excuser d’avoir lâché un pet, comme s’il s’agissait d’une forme littéraire équivoque. Sauf erreur de ma part, Mai 68 fut la première occasion où l’on se mit au contraire à parler d’histoire « immédiate ». En effet, il régnait encore autour de la Sorbonne un remugle de gaz lacrymogène, que déjà les premiers ouvrages d’analyse fleurissaient aux devantures des libraires. Depuis lors, le genre n’a fait que croître et embellir et les « briques » commises par des journalistes ne se comptent plus, cependant que le corps académique lui-même se met parfois à commenter les choses « scientifiquement » pendant même qu’elles se déroulent. D’ailleurs, soyons de bon sens et de bonne foi : s’il est exact qu’à quelques années seulement des événements les archives sont encore fermées, les acteurs par contre sont toujours vivants et peuvent parler. Traitant des événements qui se sont déroulés au Congo entre 1996 et 2003, et d’ailleurs sous-titré « les années rebelles revisitées », le livre de Lambert Mende fait incontestablement partie de cette catégorie de l’histoire, sinon immédiate, du moins « à chaud ». Brûlante même, dans la mesure où la violence est loin d’être terminée et où des soldats étrangers sont toujours présents sur le sol congolais…« Dans l’œil du cyclone » est donc écrit, au sujet d’événements encore récents, par un homme qui y a participé, et qui est encore activement présent dans la politique congolaise puisqu’il détient, dans le gouvernement Gizenga II, le portefeuille des Hydrocarbures. Les « souvenirs de guerre » oscillent souvent entre le récit héroïque, style « How I won the war » et les anecdotes truculentes à la « Soldat Schweik » et les mémoires d’hommes politiques consacrent souvent maintes pages à l’autojustification, à l’érection de leur propre statue et à exprimer toute l’admiration que l’auteur éprouve pour lui-même (ce dernier péché mignon sévissant d’ailleurs tout particulièrement au Congo. Souvent aussi, on y assiste aux exercices un brin sophistiques d’un politicien à la carrière ondoyante qui s’efforce de nouspersuader que sa vie fut au contraire droite et rectiligne, et toute entière dédiée aux grands principes. Si l’on tient compte de ce que Lambert Mende commença par s’illustrer en orateur brillant et incisif à la CNS, adhéra ensuite au RCD Goma et est aujourd’hui ministre AMP et auteur préfacé par Evariste Boshab, on pouvait s’attendre à quelques joyeusetés. Il faut sans doute soupçonner, parmi les ascendants de Lambert Mende, la présence de quelques piroguiers habiles car, pagayant sur de tels rapides et au milieu d’autant d’écueils, il a réussi à ne pas boire la tasse. Saluons l’exploit ! L’auteur est au contraire, dans ce livre, singulièrement modeste. Je dirais presque absent. Lorsqu’il apparaît, pour la première fois dans son propre récit, il se trouve à Kinshasa et se fait « réquisitionner » son véhicule par l’AFDL. Son passé nous est épargné, il parle de la CNS en résistant à la tentation de mettre son rôle en valeur[1].Plus tard, tombé en disgrâce auprès des caciques du RCD, il ne cède pas davantage à la tentation de narrer par le menu ses persécutions et tribulations. On pourrait penser que cette modestie est une habile manœuvre pour éluder les questions que l’on pourrait se poser à son sujet. Ce n’est pas le cas, puisqu’il y répond. Il répond du moins à la principale : pourquoi le RCD. Pour bousculer l’immobilisme des tombeurs de Mobutu face aux(…) ambitions démocratiques.La réponse peut être courte esembler insuffisante, mais le fait est qu’elleest là. Prenons en acte. Qu’apprend-t-on en lisant « Dans l’œil du cyclone » ? Comme dans bien des ouvrages traitant d’histoire récente (je pense, par exemple, à la kyrielle de livres sur la mort de Lumumba) il s’agit moins de « révéler » une histoire qui est globalement connue, que d’en affiner les détails et de leur donner leur juste place et leurs justes proportions. Nul, par exemple, n’ignore que le Rwanda joue dans les événements de l’Est un rôle capital, et que l’arrogance rwandaise se fonde en partie sur la faveur dont le régime Kagame jouit aux Etats-Unis. Mais à propos de la manière dont cela s’intègre dans le programme de « Renaissance africaine » de l’impérialisme sous Clinton, du rôle précis du « Congo desk » de Kigali, des nuances – allant jusqu’à se faire la guerre- qui séparent Kagame de Museveni, de la part de vrai souci sécuritaire et de simple avidité pillarde qu’il peut y avoir dans les motivations rwandaises, de l’étendue de certaines atrocités, notamment celles commises par le MLC, de la maniére dont l’Europe et notamment la Belgique ont allégrement posé culotte et adopté le point de vue d’équidistance pour complaire aux USA, de la servilité plate et de l’absence d’autonomie de la direction du RCD Goma, on apprend maintes choses qui affinent nettement un tableau trop souvent réduit à un croquis. Faut-il le dire, on peut ne pas partager les appréciations de Lambert Mende sur plus d’un point. S’il reconnaît qu’en 1993, la CNS étant bloquée par Mobutu, les perspectives de démocratisation sans violence s’éloignaient une fois de plus et rendaient la lutte armée légitime, il est manifeste qu’il n’a pas compris ce qui faisait agir Laurent Kabila. Celui-ci, fort longtemps avant 1996, était littéralement obsédé par une idée : depuis les « Guerres du Shaba », on connaissait la vulnérabilité militaire de Mobutu, dont les FAZ n’excellaient que dans la retraite précipitée. Mais on savait aussi qu’il serait toujours sauvé par des interventions occidentales. La question était donc de trouver l’ouverture, la circonstance où, par exception, le « parapluie » impérialiste ne serait pas déployé au-dessus du dictateur. C’était, disait-il, la seule possibilité imaginable pour qu’une révolution puisse être victorieuse au Congo. Cette considération l’emportait à ses yeux sur tout le reste. Et il est manifeste qu’il n’a cherché dans l’alliance rwandaise qu’un « passeport » permettant de bénéficier de la bienveillance américaine. Qu’il ait décidé de faire sortir une vraie guerre de libération d’une entreprise conquérante rwandaise, cependant que les rwandais s’efforçaient d’utiliser la volonté de libération des Congolais au profit de visées impérialistes, chacun cherchant plus ou moins à entuber l’autre, ce sont là de ces coups fourrés entre alliés comme il s’en donne dans bien des guerres. C’est courant en politique, même si ce n’en est pas le plus beau côté. Ajoutons tout de suite, d’ailleurs, que si Lambert Mende n’a pas compris certains des ressort qui faisaient agir Mzee Kabila, il ne cache pas sa sympathie pour lui, au moins sous l’angle de son patriotisme profond et total. Cela l’amène d’ailleurs à se montrer d’autant plus sévère pour l’AFDL (si ce n’est pas la faute du chef, c’est donc son entourage…) et il ne manque pas, notamment, de citer quelques unes des gaffes les plus monumentales de Gaétan Kakudji, orfèvre en matière de déclarations intempestives. Peut-être aussi est-ce la raison por laquelle il semble accorder une importance excessive au rôle de « mauvais conseilleur » qu’aurait joué Ludo Martens. Celui-ci était beaucoup plus fasciné par une Afrique imaginaire, qu’il voyait à travers le prisme de son rêve révolutionnaire, qu’il ne pouvait être fascinateur pour les Congolais, et certainement pour un homme comme Laurent Kabila. Affirmer donc que « … Kabila avait été trop réceptif aux thèses extrêmes de l’activiste belge en vertu desquelles les droits individuels peuvent être sacrifiés dur l’autel d’une certaine idée de l’efficacité révolutionnaire » (page 48), c’est oublier un peu vite que Kabila était communiste bien avant que Martens hissât son premier drapeau rouge ! Et le primat de l’urgence collective sur les intérêts individuels n’est d’ailleurs pas un principe propre au marxisme ! Au fond, Mende et Kabila ne donnaient pas le même sens au mot « démocratie ». L’auteur a en tous cas l’élégance de ne pas en prendre prétexte pour faire automatiquement decelui qui ne pensait pas comme lui un aspirant dictateur. Après la lecture de « Dans l’œil du cyclone, on en sait vraiment plus sur les événements et on les comprend peut-être un petit peu mieux. Il est rare que l’on puisse faire de tels compliments à un livre sur le Congo ! Guy De Boeck
Document 5
Vendredi 06/06/08 08:54
Les statuts de l'afdl datent de janvier 1997. donc avant le 17 mai‏
http://www.congonline.com/Politiq/statuts.htmMouta Maurice GLIGLI rue de l'Hectolitre 22/7B- 1000 Bruxelles. (BELGIQUE)Tél +32 477 71 93 37
Document 6
Le lundi 08/12/08 à 18:09
Maurice, A dater de ce jour, vous ne connaissez plus ni mon courriel, ni mes numéros de téléphone et ni mon adresse. J'ai pris la décision de rompre définitivement mes relations avec vous. Je détiens quelques-uns de vos livres. Comme je ne souhaite plus vous rencontrer du tout, je demanderai exceptionnellement à mon fils aîné de prendre contact avec vous pour vous remettre ces livres. Il est vrai que j'ai égaré une huitaine de livres du fait de mon absence prolongée de Bruxelles un moment et surtout des deux déménagements que j'ai faits. A ce sujet, je vous rappelle que j'ai fait beaucoup pour vous. Je détiens le classement de tout ce que j'ai fait pour vous en tant que nègre littéraire. Je ne vous ai jamais facturé alors que, comme vous le savez, ce genre de travaux coûte cher. Même si ces livres que vous recevez gratis pro deo pour en faire des recensions ne compensent pas le coût de tout ce que j'ai fait pour vous et étant donné que, dans la mesure où j'interviens dans la rédaction de ces recensions que vous signez, je peux me considérer en droit de vous réclamer une partie de ces livres, je vous propose de considérer cette huitaine de livres comme compensant partiellement la note que je ne vous ai pas présentée. J'ai rassemblé, dans un dossier, toutes les lettres que j'ai écrites pour vous avec les liens permettant de prouver que cela venait de vous. Ne m'appelez pas. Ne me demandez plus rien. Cherchez-vous un autre nègre. Ne me répondez pas. Attendez que mon fils vous contacte. Ce sera pendant le week-end parce qu'il travaille pendant la semaine.

Tedanga Camille

mardi 24 mars 2009

Le maître chanteur Maurice Gligli appelle à la violence contre TEDANGA

Maurice Gligli incite M. Mutshipayi Kalombo CIBALABALA à user de la violence contre TEDANGA


Ami(e)s internautes, je vous fais lire cette lettre de Maurice Gligli adressée à M. Mutshipayi KalKalombo CIBALABALA et dont il m’a envoyé la copie par voie électronique ce mardi 24 mars 2002009.
Lisez attentivement s’il vous plaît (Je cite textuellement) :

« Monsieur,

Nous nous sommes vus pour la première fois à la foire du livre de Matongué. Je vous avais promis de vous écrire.C'est ce que je fais aujourd'hui.Vous autre ne me connaissiez. Avec Tédanga le condescendant, nous devisions sur vous.C'est ainsi que j'ai su que vous êtes très violent. Pour ne pas subir votre répartie, il a voulu m'utiliser pour vous régler un contentieux. Pour information, sachez que Tédanga Camille ne vous porte pas dans son coeur. Pas du tout. Il y a un an il m'avait demandé de publier ce texte chiffon plein de mépris et de haine sur des sites togolais et congolais dans le seul but de vous "mettre à genoux" une expression chère à lui.Pourquoi ? D'après ses aveux, vous aviez parlé mal de lui auprès d'un abbé qui est venu le lui rapporter.Vous aviez médi de lui .Il en a fort été touché.Vous autre aviez oublié ces faits; vous aviez oublié ce passé.C'est ainsi que en toute innoncence vous êtes allé lui confier la recension de votre livre, le patriote. Tedanga m' a confié qu'il fera tout pour que votre livre ne soit pas vendu. Aujourd'hui,en parcourant les sites, je me rends compte que vous êtes tout sauf à vous comparer à un aigri et jaloux comme Tédanga. J'ai eu à faire publier sur des sites des textes de Tédanga.Je lui ai crée un blog.C'est dans ces circonstances qu'il m'a "confié la mission" de vous abattre. Vous constatez que je ne l'ai pas fait!Tout simplement parce que je ne suis pas facilement manipulable. Mieux, il a proposé de réecrire le premier jet. Carrément! Même démarche vis à vis de Lambert Mendé.Pour la petite histoire, j'ai fait une recension du livre de Mendé 'dans l'oeil du cyclone' que j'ai envoyé àTédanga pour relecture.Le pusillanime me supplie de faire autre chose car il a aussi des comptes à régler à Mendé.Pour ce faire, il aurait préféré rajouter des pan entiers d'arguties à mon texte.Je publierai mon texte sur mon blog et sur les sites togolais avec mon nom.Voilà ! Tout ceci parce que Tédanga se croit plus malin: il me prend pour un Youma comme il a l'habitude de le claironner à qui de droit. Je vous encourage à faire ce que vous faites: la diffusion du savoir. L'Afrique vous en sera reconnaissante! Le chiot aboie la caravane passe. Ci joint votre CV. Au moins vous autres avez une profession. Félicitations ! Maurice Mouta Wakilou Gligli »

Voici ma réponse adressée à Maurice Gligli avec copie pour Cibalabala :

« Monsieur Maurice Mouta Wakilou Gligli,

Ce mardi 24/03/09, je viens de recevoir votre courriel où vous vous livrez à votre tactique habituelle, à savoir mêler des tiers à un problème qui ne les concerne pas. Dans ce courriel, vous instiguez contre moi deux personnes, à savoir M. Mutshipayi Kalombo Cibalabala et M. Lambert Mende, Ministre de l’Information de la République Démocratique du Congo. Je voudrais traiter tout de suite le cas de M. Mutshipayi Kalombo Cibalabala.

Les faits évidemment ne sont pas tels que vous les présentez. Comme d’habitude, vous m’aviez fait part verbalement de votre intention de faire une recension d’un livre, en l’occurrence celui de Mutshipayi Kalombo Cibalabala, livre intitulé Le Patriote ou l’absurdité de Maître Ibrahima Diawara, publié chez publibook à Paris en 2008. Je reconnais vous avoir confié que l’auteur de ce livre m’avait déjà sollicité pour faire une recension de cet ouvrage et que, après lecture, je n’avais pas du tout apprécié son texte. Après avoir pris connaissance de ma critique, vous m’avez supplié pour que je vous en transmette une copie, ce que j’ai fait et c’était là mon erreur, une erreur qui permet au malhonnête que vous êtes de m’opposer à Mutshipayi Kalombo Cibalabala et d’aggraver le fossé de notre différend.

Quelques jours après et ayant flairé la bonne affaire, vous m’avez recontacté pour m’inciter à publier cette critique radicale. Je vous ai dit que l’auteur était un ami et un frère, que par conséquent je ne pouvais pas lui faire cela. Puis, séduit par la perspective de briller, vous m’avez fait part de votre intention de publier mon texte sous votre signature. C’est alors que je vous apprendrai que cela n’aura aucune valeur puisque j’avais déjà transmis mon texte à l’auteur et à quelques personnes qui lui sont très proches. C’est ainsi que vous avez été contraint de renoncer à votre projet de me voler mon texte et de le signer. Il va de soi donc que je ne pouvais pas vous demander de publier en votre nom ce texte que l’auteur détenait déjà. C’est un gros mensonge destiné uniquement à m’opposer à Mutshipayi Kalombo Cibalabala. Il est faux de dire que j’ai eu peur de « subir la répartie de l’auteur » puisque j’avais transmis ma critique à l’auteur et lui ai dit en face ce que je pensais de son ouvrage. Donc vous mentez. J’ai toutes les preuves que je vous ai transmises hors de cette communication destinée au public. Vous voyez là encore une fois votre manœuvre et votre procédé sordides d’homme qui cherche à mêler tout le monde à un problème qui ne concerne que vous et moi.

J’ignore le fait que M. Mutshipayi Kalombo Cibalabala ait médit de moi chez un ecclésiastique. Il vous revient de citer le nom de cet ecclésiastique et de révéler ce que M. Mutshipayi Kalombo Cibalabala lui a dit me concernant. Devant les internautes du monde entier, je vous demande de citer le nom du prêtre auquel Cibalabala aurait parlé et de donner le contenu de leur conversation.

Si mon but était de nuire à M. Mutshipayi Kalombo Cibalabala, j’aurais publié ma critique qui me semble difficile à réfuter puisque basée sur des faits palpables tirés du texte lui-même. J’en ai discuté avec l’auteur et lui ai dit ouvertement que je renonçais à publier la recension. Je joins une ou deux correspondance non compromettantes juste pour crédibiliser mon propos. En agissant de la sorte, vous gênez plus M. Cibalabala que moi. Vous êtes pernicieusement en train de faire la publicité d'un problème que lui et moi avons enterré. Vous n'êtes jamais bon que quand il s'agit de nuire au prochain. Quel monstre vous êtes, jeune homme?

Monsieur Gligli, je saisis une énième fois le procureur du roi. Il lira ce texte car ce que vous faites, c’est inciter M. Mutshipayi Kalombo Cibalabala à me faire du mal. Je pense que le code pénal prévoit quelque chose contre une telle manœuvre. C’est comme un appel, une instigation au meurtre. Vous êtes un menteur avéré, un malhonnête. Je présente mes excuses les plus plates à Cibalabala pour mon erreur d’avoir confié mon écrit à cet homme qui ne cherche que des problèmes. Comme j’avais promis de ne pas publier ma recension, je ne le fais pas. Je me contente de publier un seul élément de toute la correspondance échangée qui démontre en quoi Maurice Gligli fabule. TEDANGA Ipota Bembela »


Annexes
L'intérêt de Maurice Gligli est de m'opposer à M. Cibalabala. C'est pourquoi je ne publie pas toute la correspondance échangée, même si elle eut été utile pour clouer le bec au maître chanteur. Voici la preuve que le maître chanteur est prêt à sauter sur la moindre occasion pour m'opposer à mon compatriote; lisez, s'il vous plaît, le courriel suivant envoyé presque instantanément par Gligli au monet où j'aménagais mon blog:
De mouta w maurice gligli (maurice_mouta@yahoo.fr)
Date : mar. 24/03/09 17:34
A : mcibalabala@hotmail.com;
tedanga@hotmail.com

" Monsieur Léonard,
Je vous prie de cliquer sur le lien ci -joint. Vous y lirez vos échanges privés avec (...) Tedanga à propose de votre livre. Sa manoeuvre vise à vous"mettre à genoux".Vos mails restent personnels".
1

Cher Cibalabala,


Tu m’as sollicité pour faire un compte-rendu de ton roman. J’y ai travaillé et suis dans l’obligation de ne pas continuer (...). Je n’ai lu et analysé que les 25 premières pages. Daigne trouver ci-après la vingtaine de pages d’observations, même si je n’ai pas tout recensé. (...) Un ami qui ne te dit pas ouvertement ce qu’il pense n’est pas un ami, c’est un hypocrite.

Ton ami Tedanga
2

RE: Votre fiche-auteur sur www.harmattan.fr‏
De :ipota bembela tedanga (tedanga@hotmail.com)
Envoyé :mar. 24/03/09 15:21
À : mutshipayi cibalabala (mcibalabala@hotmail.com)

M. Mutshipayi Kalombo Cibalabala,

Je ne comprends pas le bien fondé de l'envoi de votre curriculum vitae que je connais un peu. Moi, j'ai, à votre demande, apprécié votre texte et vous ai envoyé mon avis. J'ai commis l'erreur (je le reconnais) d'avoir remis ce texte à Maurice Gligli, erreur pour laquelle je présente mes excuses si tant est que vous puissiez me la pardonner. Je maintiens bien entendu mon appréciation de votre texte telle que je l'ai faite (...) Vous savez bien que je n'ai pas tout analysé et que je n'ai pas inséré toutes les remarques que j'avais actées. Nous sommes là au niveau de la science. Je n'ai jamais contesté votre biographie et ce n'était pas l'objet du travail que vous m'avez demandé. Je vous prie de ne pas vous laisser manipuler par cet escroc qui, en réalité, voulait que je lui cède le texte afin qu'il s'attribue la paternité de la critique et qu'il s'en glorifie. Le Belge Maurice Gligli n'est jamais bon que quand il s'agit de nuire à son prochain. Je me suis opposé à cette tentative parce que, à notre niveau, nous nous étions convenu pour que je ne publie pas le document. Si j'avais cédé, il vous aurait anéanti sur la place publique. A présent, il vous dit le contraire. Faites attention! Vous ne le connaissez pas. Renseignez-vous. Il y a des gens de votre entourage qui le connaissent bien. Renseignez-vous. Il ne peut pas vous utiliser pour assouvir sa haine contre moi. A votre âge, ce n'est pas un tel pantin qui peut vous manipuler. Je n'ai que faire de votre biographie, mon cher. J'ajoute que j'ai commis une faute à votre égard en permettant à Maurice Gligli de prendre connaissance et de détenir une copie de ma critique. Voyez l'usage qu'il en fait. Il vous incite à user de la violence contre moi. Il fait la même chose avec le Ministre Mende. Togolais, Togolaises, vous avez là la preuve que cet homme est dangereux, plein de haine. Si vous lui confiez le pouvoir, il fera des dégâts alentour. Quand il a la possibilité de faire du mal, Gligli jubile comme un requin qui sent l'odeur du sang. C'est pourquoi j'ai demandé à mon avocat de saisir le procureur du roi et le juge d'instruction pour cette incitation au meurtre. Le haineux Gligli paiera pour toutes ces violations de la loi.


Tedanga
Conscient du tort que je vous ai causé en cédant une copie de ma critique au maître chanteur Maurice Gligli.
Postscriptum
Ce mardi 24/03/09 à 17:36, j’ai reçu de Maurice Gligli un courriel dans lequel il écrit ceci :
« N 'EST PAS TOI QUI MA PARLE DU LIVRE DU SIEUR Cibalabala ? OU EST CE QUE JE CONNAIS CE MONSIEUR?POUR TON INFORMATION, LA PLUPART DE MES RECENSIONS SE FONT A PARTIR DES LIVRES DES EDITIONS L'HARMATTAN..MYTHOMANE ET CRAQUEUR. POURQUOI PROPAGES TU UN MAIL DESTINE A TOI ET A MONSIEUR CIBALABALA? »

Mes réponses :

· Non, je ne lui en ai pas parlé. Il n’a pas besoin de moi pour savoir ce qui se passe. Il furète partout.
· Si, comme il écrit, la plupart des recensions qu’il fait concerne des livres publiés chez L’Harmattan, cela signifie que son intérêt ne s’arrête pas aux livres publiés chez L’Harmattan.
· Je divulgue cette correspondance pour montrer au monde cette autre face hideuse de ce personnage : il instigue au meurtre et il ne peut pas s’empêcher de mêler d’autres personnes à un problème qui ne les concerne pas.

lundi 23 mars 2009

Le serment de Tedanga

Réponse à mon éditeur‏

De :
ipota bembela tedanga (tedanga@hotmail.com)
Envoyé :
mar. 03/03/09 01:30

Salomon, Je te remercie pour ta proposition, mais je suis contraint de la repousser. Il faut un épilogue judiciaire entre ce gredin et moi. Il a porté contre moi de très graves accusations et il faut que la justice se prononce sinon il restera beaucoup de suspicion. Mouta Wakilou fait une longue carrière d'insulteur de gens. Il faut que quelqu'un lui donne une leçon devant la justice d'un Etat de droit. Et ce sera moi. Après moi, il réfléchira deux fois avant d'écrire n'importe quoi sur qui que ce soit. J'aurais bien voulu répondre positivement à ta proposition. Mais il y va de ma crédibilité. Dans peu je serai à Paris comme promis.

Ton frère Tedanga

dimanche 22 mars 2009

Maurice Gligli sur la sellette

21/03/2009 à 5 :17 :56

Epoustouflante discussion sur le phénomène Maurice Mouta Wakilou Gligli dans le forum internet iciLomé
le 21 mars 2009

Introduction

Maurice Gligli a soumis à la discussion quelques textes, tous ayant trait évidemment à moi. Il a soumis entre autres un arrêt d’un tribunal condamnant un de mes fils qui avait en ce moment 27 ans et qui en a 34 aujourd’hui. Il est clair que mon fils étant adulte, il assume seul ses erreurs et ses succès. En démocratie, l’infraction est individuelle. Maurice Gligli semble l’ignorer. Quand on l’attaque sur ses enfants, c’est parce qu’il s’agit d’enfants mineurs qu’il a abandonnés et à l’éducation desquels il ne participait plus. On ne dirait rien si ces enfants étaient majeurs. Malheureusement pour M. Gligli, cet exercice ne lui a pas été profitable et lui est revenu comme un boulet en pleine figure. Pour plus de facilité, j’aligne les uns après les autres les commentaires des internautes togolais. Lisez-les s’il vous plaît et vous verrez combien ces patriotes sont inspirés et combien leur appréciation est instructive. C'est époustouflant. Cela apprendra à cet incorrigible à vouloir mêler tout le monde à ce qu'il ne le regarde pas. L’internaute désireux de vérifier l’authenticité des propos retranscrits a toujours la possibilité de les relire sur le site iciLome.com à la date du 21 mars 2009 :

· Ca va se savoir. On comprend pourquoi Mouta Wakilou Maurice Gligli Amorin veut être toujours au premier rang sur tous les sites togolais. Donc il sous traite son écrit. Pauvre type. Il n'arrive même pas à rédiger un papier sans être aidé. Voilà les genres de politiciens nouveaux. Pauvre Togo.

· Allez régler vos histoires de papier sur la grande place de Bruxelles et laissez nous en dehors de vos enfantillages. Ramassez vos emails et partez.

· Et dire que j'ai perdu mon temps à lire ces calomnies au lieu de dormir. Oust je vais au lit, il se fait tard chez moi déjà. Et voilà le secret est dehors, sur la grande place de Bruxelles. Mouta je le savais est un individu pathologique (malade dans la tête) qui vit dans la mégalomanie et le rêve. Pour lui le paraître est un code de conduite, peu importe d'être. C'est dommage et méprisable de passer une vie entière à rêver de grandeur en salissant les autres. Cette fois ci, il a trouvé plus fort que lui. Les procès à lui collés par le sieur Tedanga pourront peut-être lui remettre la cervelle à l'endroit et lui donner un peu de tenue. Je me suis toujours demandé quelle mouche le pique ainsi, au point de griller la politesse à tant de gens et de chercher la bagarre partout. Ce Mouta Gligli alias Amorin qui s'arroge aussi simplement que cela le patronyme Amorin n'est qu'un médiocre mythomane que nos compatriotes découvriront peu à peu avec grande stupéfaction. Je le savais !!!!!!!!

· Qu'il s'agisse d'un blog privé ou pas, cela ne change rien à la donne. Ce sont les facettes épouvantables de Mouta Gligli "Amorin" qui sont mises à jour, pour que les Togolais sachent la vraie personnalité du gars. Au fait, à propos de pollution de site, c'est encore lui le plus nuisible parmi tous.

· Depuis quand un nom de famille reflette le vrai combat politique?Un AMORIN n'est pas synonyme d'est Tavio et un Olympio n'est pas automatiquement un combattant comme le feu Sylvanus. La preuve est que nous avons vu un Olympio devenir ministre sous le règne du Baobab. Donc s'octroyer le Nom Amorin ne veut rien dire et ne reflette jamais la réalité de votre propre personne! (…)

· Jhmmc, tu comprends mal le pseudo "commun" qui hier déjà avait envoyé ce posting sur Mouta qui a été censuré. Il le reposte aujourd'hui avec un commentaire dénonçant sa censure. Observe bien le texte. Par ailleurs, moi je trouve par contre que Eloi Koussawo est l'homme le plus injustement critiqué sur ce site avec Gil Olympio. La preuve, il suffit de faire Eloi Koussawo sur un moteur de recherche et tu verras les insanités débitées sur lui par Mouta qui change de pseudos sur icilome et togocity. Les gestionnaires des sites ne sont pas cons: ils savent identifier les IP et l'irresponsable qui tente de se faire passer pour une victime. Cet irresponsable Mouta qui a frauduleusement pris le nom d'Eloi Koussawo pour créer des blogs avec des propos mensongers et diffamatoires. Cet irresponsable Mouta qui a sorti un numéro spécial de torchon de journal sur Eloi Koussawo. Aujourd'hui nous savons que ceux avec qui il a des problèmes sérieux ne se cachent pas, mais pourquoi cherche-t-il faussement à attribuer tout écrit contre lui à Eloi? C'est cette mauvaise pratique de Mouta qui fait qu'il a été récemment frappé par un jeune à Bruxelles. Suite aux coups de poings reçus, Mouta parle d'une incapacité de travail: quel travail ? Il refuse de travailler oubliant qu'il n'y a pas de sot métier, même si c'est pour être plongeur dans un resto c'est mieux que de vivoter comme il le fait actuellement à Bruxelles. Il a été également dénoncé par le professeur congolais TEDANGA qui lui écrivait le compte rendu des livres (Voir sur Diastode la dénonciation de Mr TEDANGA). Heureusement Mouta aurait encore trouvé deux autres personnes dont une femme pour continuer à lui écrire des comptes rendus des livres qu'il signe. Il a refusé de faire des études et se spécialise dans la diffamation. L'étourdisme dont parle "Commun" est réel chez cet individu. Le nom AMORIN qu'il affectionne tant aujourd'hui lui provient d'une dame honorable qui attend de lui autre chose que cet étourdisme: ne serait-ce que lui acheter des lunettes médicales convenables, ou travailler pour lui donner un peu d'argent. Nous sommes enfants pour honorer nos parents et non le contraire.

· Vraiment, ce Mouta doit avoir de graves problèmes mentaux comme le dit le professeur en question. Après qu'on l'a frappé et corrigé proprement pour une affaire privée (pour avoir diffamé un Congolais), il écrit lui-même avec un pseudo (Valentin Têko) un communiqué au nom d'un soi-disant front pour se glorifier et protester contre son "agression". Ce nom est fictif comme bien d'autres : Assizangbé, etc. En passant, il a fait usage de faux en dénaturant l'écrit d'un journaliste. Il est dénoncé publiquement. Hoo ! Adodo hanto !!!

· Ce Mouta ne sait faire que des effets d'annonce. Il annonce des professeurs et autres gens qui ne viennent jamais ou ne participent jamais à ces activités, comme Marie Biloa, etc. Qu'il nous donne le nombre de participants à sa "journée de la femme"! Moins de 7 personnes! Qu'il nous donne le nombre de participants à son manif: moins de 7 personnes! Il va photographier des gens qui n'ont rien à voir avec le Togo à une messe pour insinuer qu'ils sont là pour sa messe. Oh, hounnn ! Le colloque Tavio a connu plus de monde parce que son épouvantail Eloi Koussawo était présent et a demander à ses militants d'y participer. Au lieu de remercier Eloi pour son fair play, Mouta a fait l'inverse par enfantillage (…)

TEDANGA n'est pas le caïd de la langue française


Maurice GLIGLI (photo) qualifie TEDANGA Ipota de « caïd » de la langue française
TEDANGA n'est pas le caïd de la langue française


Je me suis imposé le devoir et l’ingrate tâche de répliquer aux attaques d’un certain Maurice Mouta Wakilou Gligli, Belge d’origine togolaise, car, en attendant que la justice passe suite à diverses plaintes que j’ai déposées et suite à la saisie du juge d’instruction par mon conseil, il est bon de ne pas laisser l’internaute face à ces propos sans les contredire. Qu’entend M. Gligli par « caïd » de la langue française ? L’internaute doit savoir que, dans ses nombreuses attaques contre moi, ce monsieur profère des propos contradictoires, insensées que je relève pour lui montrer en quoi ces dites attaques sont infondées :


· Le jeudi 11/12/08 à 12:41, Maurice Gligli m’envoie un courriel dans lequel il écrit ce qui suit : « Je t'ai emprunté plus de 20 bouquins, comme tu es un irresponsable et en manque de sous, un affamé, un ventru, tu les as vendus ». Je lui ai répondu : « Vous dites que vous m'avez emprunté 20 livres (…) Vous voulez dire que vous m'avez prêté 20 livres. Vous voyez que vous avez toujours besoin du coup de pouce lexicologique de celui que vous appelez votre professeur qui vous a tout appris (…) ».


· Ailleurs et toujours à propos de ses livres, il écrit en s’adressant à moi (Je le cite de mémoire) : « Tu m’as escroqué mes livres que je vous ai donnés volontairement ». L’internaute se demande avec moi comment on peut escroquer des livres que l’on vous a donnés volontairement.


Je pourrais aligner d’autres propos de la même eau. Le faire, ce n’est pas me positionner comme « caïd » de la langue française, mais c’est montrer à l’ingrat Gligli que, de par son faible niveau d’instruction, il a une maîtrise faible du français écrit et que c’est la raison pour laquelle il a toujours besoin d’un nègre (TEDANGA Ipota Bembela, BOLE Jean, etc.), nègres qu’il doit respecter et non pas les diffamer, les insulter.


Le français, ce n’est pas ma langue maternelle. J’ai une position idéologique connue s’agissant de l’utilisation de cette langue dans mon pays, la République Démocratique du Congo, et même en Afrique noire. Bien qu’étant romaniste de formation, je n’idolâtre pas le français au point de m’ériger en « caïd » de cette langue. S’il faut que je sois « caïd » d’une langue, j’aimerais être celui du lingala et de la dizaine d’autres langues congolaises que je parle sans bégayer. J’ai publié Ressusciter le Dieu des Nègres, ouvrage de 520 pages dans lequel apparaît clairement mon positionnement afrocentrique en matière religieuse, politique et linguistique. La réaction de M. Gligli est caractéristique de celle d’une personne qui refuse de reconnaître son déficit théorique dans tel domaine donné et qui fait croire le contraire de ses réelles performances linguistiques. J'ai toujours conseillé à ce jeune homme de parfaire son instruction en vue de sa relative autonomie en ce domaine. Il ne m'a pas écouté et ceci devient son vrai cauchemar: que diront les Togolais de lui qui n'a pas mis à profit ses années de vie en Belgique pour s'instruire davantage? Il se console en se proclamant "Docteur de la rue". En ce qui me concerne et sans nullement idolâtrer le français, je n’attire son attention sur son déficit que dans la mesure où cela a trait au caractère contradictoire et infondé des accusations qu’il porte contre moi.


TEDANGA Ipota Bembela

samedi 21 mars 2009

TEDANGA I.B. N'EST PAS ET NE PEUT PAS ETRE JALOUX DE MAURICE MOUTA WAKILOU GLIGLI


Au lendemain du colloque sur Tavio Amorin organisé par Maurice Mouta Wakilou Gligli, j'ai envoyé par voie électronique mes impressions à l'organisateur. Comme je ne suis pas un flagorneur et que je n'ai pas à l'être, j'ai dit à Maurice Gligli ce que je pensais de sa prestation. Veuillez lire le courriel ci-dessou, s'il vous plaît (texte en italique) :


De: ipota bembela tedanga tedanga@hotmail.com

Objet: RE: Les 50 ans de tavio Amorin a Bruxelles

À: "maurice gligli" maurice_mouta@yahoo.fr

Date: Dimanche 23 Novembre 2008, 8h34



Tu as profité de la commémoration de la mort de ton oncle Amorin pour annoncer ta candidature à la magistrature suprême du Togo. Voici quelques critiques que j'émets ou que j'ai pu entendre dans la bouche des gens :


1. Nombre de personnes disaient appartenir à une ou à des organisations politiques dont les dirigeants allaient se présenter à ce poste. Ces personnes sont venues non pas pour cautionner ta candidature, mais pour célébrer Amorin. Aussi se sont-elles senties comme instrumentalisées par toi pour servir de caution à ta candidature à leur corps défendant?


2. Le ton dans lequel tu as annoncé cette candidature était par trop violent. Les gens se sentaient comme agressés. Ce n'était pas un ton présidentiel. Celui qui aspire à être président doit être une personne calme et non un agité. A la place tu aurais pu rédiger un texte bien argumenté que tu aurais pu lire calmement.


3. Certains pans du contenu de ta déclarations ont été ressentis comme choquants. Quand tu t'es présenté comme un noble alors que tu vises à être président d''une république, certaines personnes n'ont pas compris. Si toi tu es noble, alors les autres sont qui ou quoi? Des manants? Est-on encore en République ?


4. On a critiqué le caractère décousu de ta déclaration.


5. A titre personnel et vu les relations que j'entretiens avec toi, j'aurais souhaité que tu me souffles un mot bien avant au lieu de me surprendre dans la salle.


Voilà quelques remarques en vrac. D'autres viendront. Je dirai cependant quelque chose de positif: l'assistance a été record.


Vieux Camille


Tous ceux qui ont assisté à cette séance reconnaîtront que ma critique est fondée, objective. Savez-vous ce qu'a répondu l'intéressé, le sieur Gligli: TEDANGA est jaloux de lui (courriel du lundi 08/12/08 18:59).‏
N'est-ce pas ridicule? Pour que quelqu'un mérite qu'on soit jaloux de lui, il faut qu'il ait ce de quoi rendre un autre jaloux de lui. En ce qui me concerne, je ne vois rien qui puisse me rendre jaloux de Maurice Gligli. Ce ne sont pas ses fanfaronnades présidentielles et matamoresques qui pourraient faire envie. Le Togo ne peut pas confier le pouvoir à un agité à propos de qui un certain Maurice Evaglo se demande s'il est fou ou un cas pathologique. Je tiens cette information de Maurice Gligli lui-même.


TEDANGAIpota Bembela

vendredi 20 mars 2009

Maurice Gligli papa irresponsable



Maurice Gligli
Un papa irresponsable


J’ai déposé plus de cinq plaintes contre le Belge Maurice Gligli. La justice étant lente et pour ne pas laisser les internautes face à ces attaques contre ma personne et ma vie privée, je dois à mon corps défendant répliquer et me défendre du mieux que je peux. Parmi les dizaines et les dizaines d’insultes et d’affreux qualificatifs que me colle sans raison Maurice Gligli, il y a celui d’irresponsable, sans encore une fois que ce monsieur ne démontre en quoi je le serais. Je voudrais lui renvoyer cette distinction et prouver que c’est lui qui est irresponsable, en tout cas un papa irresponsable.


En effet, le 1/12/2008 à 08h37, Maurice Gligli m’a envoyé un courriel dans lequel il me décrète « préfacier » de son soi-disant livre, sans avoir requis mon assentiment. Dans le texte destiné à la brève présentation de l’auteur, M. Gligli se présente comme un papa de cinq enfants. Je vais montrer que cette mention est, dans le chef du politicien Gligli, d’un cynisme inacceptable.


M. Gligli m’a introduit dans la famille de la mère de ses trois derniers enfants. Cette dame bien instruite et bien éduquée l’a assigné et fait condamner à la saisie de ses salaires en vue du paiement de la pension alimentaire. Suite à cela, M. Gligli a abandonné ses trois enfants mineurs pendant deux ans. Non seulement il ne payait plus la pension alimentaire, mais en plus il refusait de reconnaître le dernier enfant pour éviter que la pension alimentaire n’augmente au cas où on la lui imposerait à nouveau. En outre, il envisageait même de renoncer à sa paternité par rapport à ses trois enfants pour ne plus avoir à payer la pension alimentaire. Sollicité comme intermédiaire entre lui et la mère de ses enfants, j’ai estimé que c’est bien Gligli qui avait tort et le lui ai dit franchement. Dans les quelques courriels ci-après échangés entre lui et moi, vous retrouverez la trace de toutes ces affirmations. A cause de cette prise de position, monsieur m’en a voulu. Redoutant qu’en réponse à ses attaques basses contre ma vie privée je ne puisse stigmatiser son irresponsabilité, Maurice Gligli est allé reconnaître dare-dare l’enfant abandonné et a consenti à payer une ridicule somme au titre de pension alimentaire. On m'en a informé en temps et à l'heure. Chacun comprend que ce faux papa a agi non pas par amour pour ses enfants, mais pour se préserver d’une attaque qui peut le fragiliser politiquement. Trop tard, toute la Belgique et tout le Togo sont informés. Je ne diffame pas M. Gligli, je dis ce qui est fondé en réaction contre ses attaques diffamantes, basses et blessantes. Voici la documentation :

Premier courriel

From: tedanga@hotmail.comTo: moutawakiltg@hotmail.com
Subject: RE: meilleurs souvenirs
Date: Tue, 11 Nov 2008 05:06:31 +0000


Vois-tu ce qui te manque? Il faut revoir ton attitude. Je te dis sincèrement que, hier, j'ai été heurté par ton attitude. Il faut que tu deviennes un papa pour ces enfants.


Vieux Camille


Deuxième courriel

From: moutawakiltg@hotmail.comTo: tedanga@hotmail.comSubject: RE: meilleurs souvenirsDate: Fri, 21 Nov 2008 04:58:11 +0100


Oui cest ton droit et ton devoir de me relire. Au fait Gomez peut me creer la surprise;;;;;;;;;;;;;; Je suis pas chez moi.Je allé chercher un peu de sous pour en terminer avec les nombreuses dépense du collok.Alors pour Francine, je peux si tu le dis m'eloigner des enfants et disparaitre car depuis deux ans je ne les ai jamis croisé nulle part.LEs enfants ont un papa genituer, c'est bien leur grande mère.Maintenat je vais les voir de temps a autre.... je verrai en mon ame et conscience ce ke je pourrai faire. Aussi puis je te dire e je suis arrivé a tenir deux années, je tiendrai le coup toute ma vie car la plaie ke je porte reste immortelle. Mon coeur saigne? Nos enfants sont ils source de richesse ehonté et arrongante????

Mouta Maurice GLIGLI
rue de l'Hectolitre 22/7
B- 1000 Bruxelles. (BELGIQUE)
Tél +32 477 71 93 37


Troisième courriel

From: tedanga@hotmail.comTo: moutawakiltg@hotmail.comSubject: RE: meilleurs souvenirsDate: Fri, 21 Nov 2008 07:22:00 +0000
Maurice,


Non, ce n'est pas à moi de te dire de t'éloigner de tes enfants. Je te dis d'ailleurs exactement le contraire: reconnaître le 3è né et avoir des rapports normaux avec les trois. Toi, tu crains un piège de [la maman de tes enfants] et tu rechignes à reconnaître le 3è enfant dont tu sais qu'il souffre de cette situation. C'est pourquoi je te dis que si tu ne veux rien faire, il serait bon, pour protéger cet enfant, que tu réfléchisses à une solution qui lui fasse le moins mal. C'est à toi d'agir et non pas moi. Je ne saurai pas me substituer à toi. Moi, je t’incite à instaurer de bons rapports avec tes enfants.

Vieux Camille
Maurice Gligli est-il un escroc politique, un cas pathologique ou l’assassin de son oncle Tavio Amorin ?

J’ai la douloureuse tâche de répliquer aux moult attaques dirigées contre ma personne par un Belge d’origine togolaise car il est bon, en matière communicationnel, de ne point laisser traîner ce genre de propos. En effet et en réponse à mon courriel lui signifiant la rupture définitive de nos relations, Maurice Mouta Wakilou Gligli a déversé dans ma boîte électronique une pluie de courriels insultants, bas et diffamatoires. A plusieurs reprises, il me traite d’escroc politique sans qu’il ne démontre en quoi je le suis. Or, antérieurement et plus précisément le 1/12/2008 à 08h37, Maurice Gligli m’avait envoyé un courriel dans lequel, sans avoir requis mon consentement, il m’avait nommé « préfacier » de son soi-disant livre. Dans le texte destiné à la brève présentation de l’auteur, M. Gligli dit qu’il est réfugié politique togolais établi en Belgique alors qu’il est naturalisé Belge. Pourquoi, dans sa communication destinée aux Togolais et à d’autres, M. Gligli dissimule-t-il ce qu’il est en réalité ? Comment qualifie-t-on un politicien qui ment à ses contemporains et qui se fait passer pour ce qu’il n’est pas ? D’où la question : M. Gligli est-il un escroc politique ? En Belgique, pays de M. Gligli, un politicien qui commet un tel parjure est immédiatement sanctionné. Que pensera la Belgique d'un individu auquel elle a accordé gracieusement la nationalité ?

Le 4/12/2008 à 1h23, M. Gligli m’a transféré un courriel que nous avons archivé et dans lequel un de ses contradicteurs (Maurice Evaglo) s’interroge pour savoir si le sieur Gligli est un fou, un cas pathologique, voire l’assassin de son oncle Tavio Amorin. M. Gligli s’affuble à présent du nom de « Amorin » sans avoir fait les démarches juridiques indispensables permettant une modification de son identité. S’il s’avérait qu’il avait été mêlé à l’assassinat de Tavio Amorin, alors ce serait le comble de l’escroquerie et du cynisme politiques.

TEDANGA Ipota Bembela

jeudi 19 mars 2009

TEDANGA Ipota Bembela n'est pas un abuseur de confiance

Maurice Gligli
Un homme dangereux!

En matière de communication, il vaut mieux ne jamais laisser circuler des fausses informations sans les démentir et les contredire. Sans m’éterniser à échanger avec un individu qui ne profère que des propos insultants, bas et diffamatoires, j'ai déjà confié à mon avocat bruxellois le soin de s’occuper de le déférer en justice.

Voici libellé par lui-même dans un courriel qu'il m'a envoyé le mardi 27/01/09 à 15:12 le motif pour lequel M. Mouta Wakilou Gligli me traite d'abuseur de confiance. Lisez ce passage attentivement, s'il vous plaît (Je cite textuellement) : "(….) Malhonnête Tédanga. J'invite des conferenciers pour un Colloque. Je les loge et derrière mon dos, tu les invite les détournant pour que tu fasses avec eux un projet d'Institut avec Biyogo. Voilà la vérité. Pourquoi, ne dépenses tu pas pour leur faire effectuer le déplacement jusqu'ici afin de profiter de leur potentialités intellectuelles? C'est cela abuser de la confiance d'un tiers(…)" (sic). Voici un paragraphe du courriel du 8 décembre 2008 dans lequel le Belge malgré lui s’adresse à moi en ces termes : « Récupérateur opportuniste. Est-ce toi qui avait invité Biyogo ici avant de le détourner à aller chez Diouf » (sic).
Cher lecteur et chère lectrice, trouvez-vous là un motif sérieux qui puisse permettre à quelqu'un d'affubler un autre de deux hideux qualificatifs de malhonnête et d'abuseur de confiance?
Effectivement, Maurice Gligli a organisé un colloque auquel il a invité entre autres le professeur Biyogo (du Gabon) que je ne connaissais pas. Après avoir fait la connaissance de cet éminent Africain, je l'ai invité à manger chez moi, bien après le déroulement du colloque. Biyogo est un adulte et ne devait sûrement pas demander l'autorisation de Maurice Gligli pour se déplacer dans Bruxelles ou même pour faire un projet avec quiconque. Si Biyogo et moi faisIons un projet (prenons la création d'un Institut Cheikh Anta Diop), nous n'étions pas tenus d'y associer Maurice Gligli qui, en l'occurrence, n'est pas outillé pour apporter une contribution consistante aux recherches de haut niveau telles que celles qui se projetaient. Il faut, hélàs, reconnaître que Maurice Gligli ne comprend pas ce que cela veut dire "abuser de la confiance" de quelqu'un. J'étais libre d'inviter Biyogo comme Biyogo était libre d'accepter ou de rejeter mon invitation. De toute façon il n'avait qu'à s'en prendre au professeur Biyogo et je connais ce qu'il allait recevoir comme leçon de politesse car Gligli est insolent, irrespectueux.

Je précise autre chose: M. Gligli ne dépense pas de sa poche pour faire venir les conférenciers comme il semble le faire croire. Il reçoit un subside de la part de la Belgique dans le cadre de ses asbl. Ce sont des activités culturelles subventionnées. Il n’a pas de moyens personnels pour payer à quiconque son déplacement et son logement à l'hôtel. S'il avait des moyens, il n'aurait pas abandonné ses enfants mineurs et aurait contribué à leur éducation en payant la pension alimentaire.
M. Gligli m'accuse de vouloir profiter de potentialités intellectuelles de Biyogo encore que ce n'était pas le cas dans le cadre du projet auquel ce monsieur fait allusion. Par contre je connais une personne dont cela (profiter des potentialités intellectuelles des autres) constitue la spécialité. Il s'appelle Maurice Gligli même s'il n'est pas reconnaisant envers ceux qui se dévouent pour lui.
Je conclus avec vous: Maurice Gligli est un individu dangereux dont le sport favori consiste à salir même ses bienfaiteurs. Méfiez-vous, Mesdames et messieurs. Ce qu'il a fait à tant d'autres et à moi, il peut le faire contre vous.
TEDANGA Ipota Bembela
Bruxelles 19 mars 2009

vendredi 13 mars 2009

Maurice Gligli tricheur et as du faux en écriture


Communiqué-Démenti

TEDANGA Ipota n'a jamais mis ses enfants sur les trousses de Maurice Mouta Wakilou Gligli
Maurice Mouta Wakilou Gligli
Entre imaginaire et mise en scène

Mesdames et Messieurs du site Echo de la Diaspora (togolaise),

Je viens de tomber sur ce communiqué du Front Patriotique africain que vous diffusez à propos de l’agression physique dont aurait été victime le Belge M. Maurice Mouta Wakilou Gligli. Comme il s’agit de moi-même et de l’un de mes enfants, je voudrais vous donner ma version que vous voudrez bien diffuser pour permettre à vos lecteurs de se faire leur propre idée à partir de deux versions contradictoires. Moi, je ne suis pas Togolais, mais Congolais et j’espère que cela ne sera pas un handicap qui puisse s’opposer à la diffusion de mon démenti basé sur des documents véridiques :

1. Si vous examinez le document 4 repris ci-dessous, vous remarquerez que le communiqué de ce Front Patriotique a été diffusé le 17 février dernier dans le forum Hinterland par le sieur Maurice Mouta Wakilou Gligli. Vous noterez également qu’il n’y a aucun lien qui indique que ce texte rédigé le 17 février même provient du signataire M. Valentin Têko qui réside à Strasbourg selon l’information mise à notre disposition. Maurice Gligli est coutumier de ce genre de tricherie. Ce qui suit vous permettra de comprendra pourquoi il est justifié d’être circonspect.

2. Le 16 février, Maurice Mouta Wakilou Gligli diffuse dans son blog le communiqué d’un certain Mbagnick Diouf relatant son agression sur la base des informations fournies par lui-même. C’est le document 1. Veuillez examiner ce document et, en particulier, la note-renvoi 1 qui est en rouge que je cite textuellement "(c'est bien le fils de Tedanga Ipota Bembela Camille avec qui Gligli a des antécedents judiciaires. Ce dernier aurait excroqué plus d'une viingtaine de livres a GLIGLI-AMORIN)". Cette note accuse un de mes fils comme auteur de l’agression et fait référence à moi. J’ai protesté auprès de M. Mbagnick contre cette double stigmatisation (document 2) et M. Mbagnick m’a répondu de suite en indiquant que le texte en rouge inséré n’était pas le sien. Lisez, s’il vous plaît le document 3. Cela signifie que, pour accuser l’un de mes fils et pour s’en prendre à moi, M. Mouta a commis un faux en écriture en faisant dire à Mbagnick Diouf ce qu’il n’a pas écrit.
3. M. Maurice Gligli a eu affaire à mon quatrième enfant et non au fils aîné comme il l'affirme dans ses courriels. Encore un mensonge qui s'ajhoute aux deux précédents. En effet, dans mon tout premier courriel, j'ai dit à M. Gligli que je ne souhaitais plus le rencontrer du tout et que j'allais demander exceptionnellement à mon fils aîné de prendre contact avec lui pour lui remettre ses livres. Dans son courriel du lundi 2 Mar 2009 15:57:05, M. Mouta Wakilou Gligli conclut que c'est ce fils qui portera la main sur lui (traduisez : le fils qui s’est défendu contre sa violence). Voici ce qu'a été ma réponse : « Ceci est un mensonge éhonté. Vous n'avez pas eu affaire à mon fils aîné. Vous êtes sourd? Vous avez agressé le quatrième de mes enfants, un gamin par rapport à vous. Vous mentez sans scrupule. Il y a des caméras au métro et ce sont les caméras qui vous confondront ».

3. Voici ma version. Il y a un différend entre M. Mouta Wakilou Gligli et moi, différend qui m’a conduit à déposer contre lui plus de six plaintes auprès du procureur du roi. M. Gligli manipule les internautes en laissant croire que le différend est basé sur une escroquerie de livres. Faux ! Je reviens en long et en large sur les tenants et aboutissants de cette affaire dans mon blog. Le 7 février (si je ne m’abuse), j’ai été agressé publiquement par M. Mouta Wakilou Gligli : une agression verbale et physique. Ceux d’entre vous qui connaissent ce monsieur et sa brutalité peuvent imaginer la scène. Plus tard, il rencontre le quatrième de mes enfants dans le métro bruxellois. Aussitôt il l’interpelle en lui disant que son père (moi) est un "escroc de ses livres" (sic) et qu’il va encore l’agresser quand il le rencontrera. Mon fils s’énerve et lui enjoint de ne pas parler de son paternel en ces termes. Il lui fait remarquer qu’il est insolent et irrespectueux envers un aîné qui l’a toujours aidé et accueilli. Gligli s’énerve et menace de frapper mon fils. Bien entendu ce dernier ne se laisse pas intimider et promet de riposter s’il porte la main sur lui. C’est cela qui se produira. L’altercation n’a pas duré suite à l’intervention d’un témoin qui les a séparés. Voilà tout.

4. Comme il a le sens de la mise en scène, M. Mouta Wakilou Gligli a donc ameuté une radio et fait publier les faits sur internet pour jouer à la victime alors que c'est lui qui a agressé mon fils de plus de 15 ans plus jeune que lui. Gligli peut être tout, sauf une victime. C’est un monsieur violent, insolent et grossier. Je le dis, croyez-moi, en connaissance de cause. Ce n’est pas à près de 60 ans que je peux m’amuser à dire des sottises.
5. L'altercation entre Maurice Gligli et mon fils ou même avec moi a un caractère privé et non politique. Alors pourquoi ameuter un soi-disant Front Patriotique et requérir le soutien des militants réels ou virtuels? C'est cela la démesure et le sens de la mise en scène de ce mégalomane.
Conclusion: ses trois mensonges avérés et sa ridicule mise en scène décrédibilisent sa version sur cette altercation qui l'a opposé à mon fils. Mon conseil attirera l'attention du juge sur tous ces détails.

Je vous remercie d’accepter de publier ce démenti. C’est un geste démocratique de votre part

TEDANGA Ipota Bembela
Annexes


Document 1

Maurice Mouta Wakilou GLIGLI-AMORIN
Bruxelles. (BELGIQUE) Tél +32 477 71 93 37
http://gliglimouta.afrikblog.com/
--- En date de : Lun 16.2.09, online@radiogoree.net a écrit :
De: online@radiogoree.net
Objet: Under Attaque ! Maurice Moutawa Gligli-Amorain -15 fev 2009-
À: maurice_mouta@yahoo.frDate: Lundi 16 Février 2009, 0h09

Un africain vient d’être attaqué à Bruxelles (Belgique), à l’heure actuelle (23 heures) il est entrain de porter plainte, il se trouve dans une voiture de la police belge (CEE ou EU). Maurice Moutawa Gligli-Amorain vient de me joindre par téléphone, (23 heures) il se trouve à l’heure actuelle dans un combis de la police belge. D’après les informations reçues directement par Moutawa Gligli-Amorain, l’attaque a été initiée par deux africains (noirs) (*1) qui semblent le connaître. Sa vie n’est pas en danger, une peur, des coups physiques, des dégâts matériels (Maurice Moutawa Gligli-Amorain) souffre de myopie, ses lunettes ont été cassées, et il est sans ressources visuelles sans ses lunettes. Voici les dernières nouvelles. Nous attendons la confirmation officielle de cette attaque, la plainte, le procès verbal et les photos. Maurice Moutawa Gligli-Amorain m’a informé de cette attaque.
Breaking News à 23 heures 50mn heure de Bruxelles

Mbagnick Diouf

(1 *) c'est bien le fils de Tedanga Ipota Bembela Camille avec qui Gligli a des antécedents judiciaires. Ce dernier aurait excroqué plus d'une viingtaine de livres a GLIGLI-AMORIN.

Document 2

ipota bembela tedanga wrote:

Monsieur Mbagnick Diouf, Je vous demande de bien vouloir diffuser mon démenti et de me confirmer cette diffusion par ce canal. Je vous remercie.
Tedanga

Document 3

Re: FW: Hinterland Attaque ! Maurice Moutawa Gligli-Amorain -15 fev 2009-‏
De :Online ! (online@radiogoree.net)
Envoyé :lun. 16/02/09 14:27
À : ipota bembela tedanga (tedanga@hotmail.com); maurice_mouta@yahoo.fr

Le texte-ci n’est pas le mien. J’ignore qui a modifié le message original. Ce qui est ajouté est en rouge. Voici le texte original, dans lequel il n’est question de quelque référence que ce soit à un nom de famille, une personne. Veuillez me tenir en dehors de vos problèmes personnels, je suis entrain de développer des solutions en informatique, pour que l’Afrique puisse en bénéficier.
===============================
Un africain vient d’être attaqué à Bruxelles (Belgique), à l’heure actuelle (23 heures) il est entrain de porter plainte, il se trouve dans une voiture de la police belge (CEE ou EU). Maurice Moutawa Gligli-Amorain vient de me joindre par téléphone, (23 heures) il se trouve à l’heure actuelle dans un combis de la police belge. D’après les informations reçues directement par Moutawa Gligli-Amorain, l’attaque a été initiée par deux africains (noirs) qui semblent le connaître. Sa vie n’est pas en danger, une peur, des coups physiques, des dégâts matériels (Maurice Moutawa Gligli-Amorain) souffre de myopie, ses lunettes ont été cassées, et il est sans ressources visuelles sans ses lunettes. Voici les dernières nouvelles. Nous attendons la confirmation officielle de cette attaque, la plainte, le procès verbal et les photos.
Maurice Moutawa Gligli-Amorain m’a informé de cette attaque.
Breaking News à 23 heures 50mn heure de Bruxelles

Mbagnick Diouf


Document 4

To: hinterland@yahoogroupes.fr; jpmbelu@yahoo.fr
Date: Tue, 17 Feb 2009 14:01:10 +0000
Subject: Hinterland à lire

TEDANGA CAMILLE ABUSEUR DE CONFIANCE ET QUI MET SES ENFANTS AUX TROUSSES DE GLIGLI-AMORIN

COMMUNIQUE

Le Front Patriotique Panafricain condamne avec une extrême vigueur, l'agression lâche et inacceptable commise dans la nuit du 15 février 2009 contre son Président en exercice en la personne de Maurice Mouta GliGli Amorin,à Bruxelles. Cet acte ignoble et lâche commis dans le métro par deux individus (dont l'une des personnes est le fils de Camille Tedanga Ipota pour les antécédents judiciaires que connait Maurice Gligli-Amorin avec son père) tout aussi ignobles et lâches s''est conclu pour le Président en exercice du F2P, Front Patriotique Panafricain.par le bris de ses lunettes médicales et une incapacité totale de travail. Au nom des Diasporas Africaines en Europe et dans le monde, nous lançons ici un avertissement à ces deux fauteurs irresponsables afin qu'ils sachent une bonne fois pour toutes, d'une part qu'ils ne resteront pas impunis et que d'autre part, toutes tentatives de réedition de telles velléités d'agression contre quiconque exposeront leurs auteurs à des conséquences inacceptables les plus dures. Au nom du Front Patriotique Panafricain, nous confirmons de manière itérative notre soutien total et sans faille à l'action et aux initiatives du F2P conduites par notre camarade de lutte Maurice Mouta Gligli -Amorin, Président en exercice en vue de l'accession des masses laborieuses togolaises opprimées à une démocratie totale dans le plein exercice de la souveraineté nationale du Peuple togolais.

Fait à Strasbourg, le 17/02/2009

Le Conseiller à la Formation Politique et Idéologique du F2P
Valentin Têko

Maurice Mouta Wakilou GLIGLI-AMORIN
Bruxelles. (BELGIQUE) Tél +32 477 71 93 37
http://gliglimouta.afrikblog.com/

Document 5

A mon corps défendant‏
De :ipota bembela tedanga (tedanga@hotmail.com)
Envoyé :mer. 18/02/09 03:17
À : groupe Hinterland (hinterland@yahoogroupes.fr)

Monsieur Valentin Têko
Conseiller à la Formation Politique et Idéologique du F2P

Cher Monsieur
En supposant que vous existez, je vous pose les questions suivantes :
1. Me connaissez-vous pour affirmer que je suis un abuseur de confiance ? En quoi ai-je abusé votre confiance?
2. Avez-vous la preuve que j’ai mis mes enfants aux trousses de M. Mouta Wakilou Gligli ?
3. Avez-vous la preuve qu’une altercation ait opposé l’un de mes enfants au sieur Mouta ?
4. Si cette altercation a bien eu lieu, savez-vous lequel des deux a pu agresser l’autre ? M. Mouta est un individu violent: il a bien pu agresser mon fils si tant est que cette altercation soit confirmée.
5. Pourquoi M. Mouta Wakilou Gligli a-t-il commis un faux en écriture pour crédibiliser sa version d’une agression par un de mes enfants ? Voici le message soi-disant rédigé par Mbagnick Diouf et que M. Mouta a diffusé pour crédibiliser cette attaque :

Monsieur,

J’ai déjà déposé quatre plaintes contre M. Mouta Wakilou Gligli. Mon conseil a saisi le juge d’instruction. Mon intérêt n’est pas dans le fait de faire perpétrer une agression contre ce monsieur. Je veux le faire condamner par la justice belge et j’y arriverai. S’il s’avère qu’un de mes enfants se soit rendu coupable d’une agression sur cette personne, je le désavouerai. Je ne suis pas violent. C’est votre président qui est violent et grossier, mal éduqué. Heureusement, il sait qu’il ne pourra plus s’approcher de moi.

Monsieur,

Savez-vous que Monsieur Mouta m’a agressé publiquement, devant témoins lors du salon des littératures africaines (orales et écrites) ? M’avez-vous entendu faire appel à je ne sais quelle association pour dénoncer ce Monsieur ? Non. Mais j’ai déposé plainte devant qui de droit parce que je veux que votre président soit condamné et, croyez-moi, il le sera. Ce n’est pas sur internet qu’aura lieu le procès. Vous, monsieur, vous ne pourrez rien pour lui devant un juge. Dans ce forum Hinterland, beaucoup de gens me connaissent et mépriseront les insultes de M. Mouta. Je ne répondrai à votre soi-disant président que devant le juge. Tout ce qu’il a dit sur moi est archivé et est en train d’être dépouillé, sérié dans la perspective du procès. C’est ce jour-là qu’il saura de quel bois je me chauffe. Tenez-vous à l’écart de ceci car où que vous soyez et si vous persistez dans ce genre de stigmatisation, je mettrai interpol à vos trousses. Il y a des gens qui croient qu’ils peuvent insulter et diffamer impunément les autres sur internet. Faux! Votre président l’apprendra bientôt à ses dépens. Dans ce forum, on traite des sujets sérieux ayant trait à l’avenir du Congo et de l’Afrique. A mon corps défendant je me trouve à répondre à des bêtises. Compatriotes, à dater de ce jour et quoi que ce monsieur puisse écrire dans ce forum contre moi, je me contenterai de l’archiver et de le transmettre à mon avocat. Je vous respecte beaucoup pour ne pas vous infliger ce genre de littérature.

Tedanga