mercredi 29 avril 2009

Réponse gentille à l'internaute Zodo du site iciLome.com

Réponse gentille à l’ami internaute Zodo du site internet iciLome.com

Je viens de tomber sur un dialogue entre deux internautes du site iciLome concernant mon blog. Je réponds gentiment et ci-dessous à l’intervenant Zodo qui me donne un bon conseil. Il y a lieu en effet d’apporter une précision. Je réponds en deux temps. Voici d’abord les échanges entre Juliette et Zodo à propos du thème « JE VIENS DE TOMBER SUR UN BLOG INCROYABLE » :

Intervention de Juliette

4/28/2009 2:01:05 PM

C'est un dossier que nous connaissons depuis belle lurette dans ce forum et dans certains forums du Congo. Le compatriote dont parle le respectable Congolais Tedanga nous fait tout simplement la HONTE. Amenez-le chez un psychiatre, c'est sérieux


Intervention de Zodo

4/28/2009 3:38:49 PM

Ils sont tous les deux des fous. Quand votre respectable monsieur Tedanga se rabaisse en voulant répondre à l´autre, il se retrouve ensemble dans le même panier. Dites à ce Tedanga de laisser cette affaire …


Voici mes deux réponses :

4/29/2009 6:43:10 PM

Messieurs,
Quand du jour au lendemain plus de mille pages d'insultes, d'accusations diffamatoires, calomnieuses, mensongères ... sont diffusées sur la toile contre vous, il vous est très, très difficile de garder votre calme. Vu la gravité de toutes ces imputations et à cause d'internet qui leur donne un caractère d'universalité et d'éternité, mon entourage et moi avons estimé qu'il est bon de répliquer modérément, de remettre les pendules à l'heure pour certains points, mais en restant courtois, poli. Je n'ai pas échangé systématiquement avec mon agresseur. Je me suis contenté de temps en temps de rectifier ce qui me paraissait flagrant. Ne rien dire peut être interprété comme un aveu ou une acceptation. C'est pourquoi j'ai déposé plusieurs plaintes. Je me suis gardé dans mes réponses de dire le moindre mensonge contre celui que cette pratique ne gêne pas. Mais je voudrais rassurer l'ami internaute: c'est à mon corps défendant que j'ai été amené à rectifier ou à montrer à mon agresseur ce qu'il est. Croyez-moi, je suis le premier à souffrir du fait de ces échanges. Je demande un peu d'indulgence de la part de l'ami internaute. Qu'il fasse un effort pour se mettre à ma place face à de telles injures et à cette avalanche des propos diffamatoires. Je m'engage cependant, cher ami internaute, à aller dans le sens de votre souhait et à ne plus répondre désormais quoi qu'il arrive. Je vous remercie.
Tedanga

4/29/2009 8:58:15 PM

Ami internaute Zodo,

Je vous ai demandé de l'indulgence et je maintiens cette sollicitation. Ce que vous dites se retrouve dans un proverbe de ma langue maternelle qui dit à peu près ceci: "Quand une personne normale se bat dans la rue contre un fou, le passant conclut que tous les deux sont fous". Dans le proverbe, le passant sait ou est supposé savoir que l'un des deux protagonistes est fou. Mais, voyez-vous, le proverbe a ses limites. Ce cas de figure ne s'applique pas à la situation sur internet. Supposez qu'un quidam puisse faire paraître sur internet un texte qu'il intitule "Zodo est un malhonnête". La personne qui lit cela ne sait pas que l'auteur de cette phrase est un fou. Tout le monde n'a pas votre hauteur de jugement. On peut vous juger en lisant ces balivernes. Des amis à moi se sont alarmés. Certains d'entre eux ne pouvaient pas comprendre que je ne recadre pas certaines affirmations odieuses. Vu le caractère d'universalité et d'éternité de l'affichage sur internet, puisque ces propos vous causent du tort, vous ne pouvez pas laisser cela sans réagir d'une façon ou d'une autre. En redemandant votre indulgence, j'ai choisi de réagir de deux manières: en recadrant certains propos et en déposant plainte. Je recadre les propos parce que la justice est lente alors qu'entre temps les propos tenus contre vous continuent à vous nuire. La justice parce qu'en faisant condamner mon agresseur, je disposerai d'un outil qui protégera mon honneur à tout jamais dans l'universalité et l'éternité de l'affichage sur internet. La justice ordonnera également le retrait de tous ces propos à jamais et punira sévèrement toute récidive. Pensez bien, M. Zodo: je ne suis pas la première victime de ce monsieur. Je rendrai service à toutes les autres victimes si je parviens à faire condamner ce monsieur. Je termine: contrairement à mon agresseur, vous ne trouverez pas dans mes interventions un seul mensonge le concernant. C'est pourquoi mon propos est presque toujours documenté. J'espère, cher Zodo, que vous avez lu ce que mon agresseur écrit contre moi. J'ai l'impression que vous ne l'avez pas fait sinon vous auriez hésité à me mettre dans le même sac. Mais je vous remercie quand même puisque, après tout, vous ne m'êtes pas hostile et que vous ne faites que me demander de ne pas me rabaisser. Je vous ai donné mes raisons et mes difficultés.

Tedanga

Postscriptum : Je parie que si l’ami Zodo lit ce que mon agresseur a écrit me concernant, alors il ne parlera plus d’un blog incroyable. Il recherchera un autre qualificatif. Je lui souhaite bonne lecture et lui dit encore une fois merci pour son conseil.