lundi 6 avril 2009

Méfiez-vous du maître chanteur Maurice Gligli

Ami(e)s internautes,


C’est mon devoir le plus absolu et le plus légitime de me défendre contre les attaques dont je fais l’objet de la part d’un maître chanteur, le Belge malgré lui Maurice Mouta Wakilou Gligli. Si par hasard, vous avez des rapports avec ce monsieur, ne commettez pas mes deux erreurs, à savoir l’aider et l’admettre dans votre vie car, dès la première occasion, il vous poignardera et attaquera votre vie même privée comme il le fait avec la mienne. Pour vous détruire, il est prêt à inventer, à mentir sans vergogne ou à mal interpréter. Voici un bref catalogue d’attaques que je réfute très facilement parce qu’elles sont infondées :


Attaques en règle de ma vie privée

- Attaque de Maurice Gligli : « Pour rappel, ce livre est dédié à une japonaise amante de Ipota Camille dont la photo sera bientôt sur le blog. Avant de juger les autres, il faut se juger soi même. Fidèle mari !!! »

Ma réponse : J’ai effectivement une amie japonaise que mon épouse connaît. Elle fait des démarches pour faire traduire en japonais mon dernier ouvrage. Reconnaissant, j’envisage effectivement de lui dédier un des trois tomes de ma fiction littéraire dont je viens de terminer la rédaction.

- Attaque de Maurice Gligli dans son courriel de vendredi 23/01/09 13:43 : « Toi personnellement qui est venu et qui a voulu draguer toutes mes tantes, qui t'a invité? »

Ma réponse : Draguer une adulte n’est pas illégal. Mais en l’occurrence je ne l’ai pas fait. Maurice Gligli a un comportement de domestique. Quand il a besoin de vous, il se rabaisse d’une manière qui gêne. Dans le cas d’espèce, il va jusqu’à proposer de vous faciliter la tâche auprès des membres féminins de sa famille. Je suis certains que ces dames que je respecte ne seront pas contentes de l’apprendre. Mais jamais je ne l’ai laissé faire. Lors de son dernier colloque sur Tavio Amorin, j’ai offert un petit rien à une de ses tantes. Celle-ci m’a posé la question très juste de savoir pourquoi je faisais ce geste. Je lui ai répondu que c’était en reconnaissance du service que Maurice Gligli avait rendu à ma sœur en ayant fait des photos lors de son mariage coutumier.
- Attaque de Maurice Gligli dans son courriel du jeudi 22 Jan 2009 22:56 : « Combien de fois ne m'as tu pas pris comme couverture auprès de ton épouse pour aller faire tes sales coups avec tes Rwandaises, des dames mariées, femmes d'autrui ».

Ma réponse : Je mets au défi Maurice Gligli de citer le nom d’une Rwandaise ou d’une femme mariée qui ait été mon amante. Un mensonge indigne. Si vous connaissez Maurice Gligli, posez-lui la question. Je sais que vous n’aurez aucune suite puisque c’est un mensonge. Cette affaire reviendra sur le tapis devant le juge. Là il n’aura pas le choix que de désigner ces amantes sous peine d’une condamnation.

- Attaque de Maurice Gligli dans son courriel du jeudi 22 Jan 2009 20:00:18 : « JE VAIS CREER UN BLOG POUR TOI ET POUR TOUS NOS ECHANGES.CELA TAPPRENDRA »

Ma réponse : Je vous laisse apprécier la moralité de ce monsieur. Je demeure courtois car je le « messieurise » et lui donne du vous.

- Attaque de Maurice Gligli dans son courriel du lundi 02/03/09 14:59 : « Ta vie privée que je connais très sera exposée à qui de droit le moment venu ».

Ma réponse : Ce qu’il fait contre moi, il le fera contre vous. Méfiez-vous de ce monsieur. Et dire qu’il envisage de devenir président du Togo. Un maître chanteur pareil ! Je vous laisse apprécier.

- Attaque de Maurice Gligli dans son courriel du dimanche 25/01/09 11:50 : « A part le décès naturel de tes nombreux cousins prêtres dont tu raffoles de leur mort en organisant tout le temps des matanga pour pouvoir ramasser un peu de sous au lieu d'aller travailler à la sueur de ton front? Des prêtres (dont toi même un prêtre raté) indignes du sacerdoce et qui ont des milliers d'enfants dans toutes les contrées du Congo?»

Ma réponse : Mensonges sur toute la ligne et grave atteinte à la mémoire d’un ou des défunts. Mal éduqué ! Devant le juge, il égrènera les noms de ces cousins prêtres décédés, les noms des dames dont ils ont eu des enfants et les noms de ces enfants. Il devra prouver comment je me serais enrichi grâce aux cotisations faites à l’occasion de ces deuils. Vous voyez : je vous avais dit que ce monsieur n’hésite pas à inventer pourvu qu’il pense vous nuire. Mais devant le juge…

- Attaque de Maurice Gligli dans courriel du lundi 08/12/08 21:28 : « ET LA JAPONAISE AVEC QUI TU SORS PRESENTEMENT A QUI TU AS DEDIE TON LIVRE, EST CE TON EPOUSE EST AU COURANT »

Ma réponse : J’ai déjà répondu.

- Attaque de Maurice Gligli dans son courriel du lundi 08/12/08 21:51 : « Je ferai tout pour entrer en contact avec ton épouse pour tout lui dévoiler. Comment tu as invité Hélène … chez vous (…) elle est belle et bien ta propre copine »

Ma réponse : Quand j’ai reçu des collègues scientifiques chez moi, il y avait une certaine Hélène dont je ne cite pas le nom pour la protéger. Elle n’est pas ma maîtresse. L’intéressée lira cette attaque et se réservera de répondre au maître chanteur. Hélène est une bonne amie de ma famille et nous la respectons beaucoup.

- Attaque de Maurice Gligli dans son courriel du mardi 09/12/08 09:55 : « Je vous ai pris en photo avec la japonaise; attends toi à retrouver cette photo chez toi dans les mains de ta femme (…)».

Ma réponse : Malheureux maître chanteur. Ma femme rit. La Japonaise et ma femme attendent cette photo. Méfiez-vous de ce monsieur. Voyez jusqu’où il peut aller.

- Attaque de Maurice Gligli dans son courriel du 12 janvier à 6h59 : « Je vais appeler ta femme, je vais lui parler de tout ce que toi et moi nous avons fait ».

Ma réponse : Je ne sais plus que dire. Je vous laisse juger.