mercredi 29 avril 2009

Réponse gentille à l'internaute Zodo du site iciLome.com

Réponse gentille à l’ami internaute Zodo du site internet iciLome.com

Je viens de tomber sur un dialogue entre deux internautes du site iciLome concernant mon blog. Je réponds gentiment et ci-dessous à l’intervenant Zodo qui me donne un bon conseil. Il y a lieu en effet d’apporter une précision. Je réponds en deux temps. Voici d’abord les échanges entre Juliette et Zodo à propos du thème « JE VIENS DE TOMBER SUR UN BLOG INCROYABLE » :

Intervention de Juliette

4/28/2009 2:01:05 PM

C'est un dossier que nous connaissons depuis belle lurette dans ce forum et dans certains forums du Congo. Le compatriote dont parle le respectable Congolais Tedanga nous fait tout simplement la HONTE. Amenez-le chez un psychiatre, c'est sérieux


Intervention de Zodo

4/28/2009 3:38:49 PM

Ils sont tous les deux des fous. Quand votre respectable monsieur Tedanga se rabaisse en voulant répondre à l´autre, il se retrouve ensemble dans le même panier. Dites à ce Tedanga de laisser cette affaire …


Voici mes deux réponses :

4/29/2009 6:43:10 PM

Messieurs,
Quand du jour au lendemain plus de mille pages d'insultes, d'accusations diffamatoires, calomnieuses, mensongères ... sont diffusées sur la toile contre vous, il vous est très, très difficile de garder votre calme. Vu la gravité de toutes ces imputations et à cause d'internet qui leur donne un caractère d'universalité et d'éternité, mon entourage et moi avons estimé qu'il est bon de répliquer modérément, de remettre les pendules à l'heure pour certains points, mais en restant courtois, poli. Je n'ai pas échangé systématiquement avec mon agresseur. Je me suis contenté de temps en temps de rectifier ce qui me paraissait flagrant. Ne rien dire peut être interprété comme un aveu ou une acceptation. C'est pourquoi j'ai déposé plusieurs plaintes. Je me suis gardé dans mes réponses de dire le moindre mensonge contre celui que cette pratique ne gêne pas. Mais je voudrais rassurer l'ami internaute: c'est à mon corps défendant que j'ai été amené à rectifier ou à montrer à mon agresseur ce qu'il est. Croyez-moi, je suis le premier à souffrir du fait de ces échanges. Je demande un peu d'indulgence de la part de l'ami internaute. Qu'il fasse un effort pour se mettre à ma place face à de telles injures et à cette avalanche des propos diffamatoires. Je m'engage cependant, cher ami internaute, à aller dans le sens de votre souhait et à ne plus répondre désormais quoi qu'il arrive. Je vous remercie.
Tedanga

4/29/2009 8:58:15 PM

Ami internaute Zodo,

Je vous ai demandé de l'indulgence et je maintiens cette sollicitation. Ce que vous dites se retrouve dans un proverbe de ma langue maternelle qui dit à peu près ceci: "Quand une personne normale se bat dans la rue contre un fou, le passant conclut que tous les deux sont fous". Dans le proverbe, le passant sait ou est supposé savoir que l'un des deux protagonistes est fou. Mais, voyez-vous, le proverbe a ses limites. Ce cas de figure ne s'applique pas à la situation sur internet. Supposez qu'un quidam puisse faire paraître sur internet un texte qu'il intitule "Zodo est un malhonnête". La personne qui lit cela ne sait pas que l'auteur de cette phrase est un fou. Tout le monde n'a pas votre hauteur de jugement. On peut vous juger en lisant ces balivernes. Des amis à moi se sont alarmés. Certains d'entre eux ne pouvaient pas comprendre que je ne recadre pas certaines affirmations odieuses. Vu le caractère d'universalité et d'éternité de l'affichage sur internet, puisque ces propos vous causent du tort, vous ne pouvez pas laisser cela sans réagir d'une façon ou d'une autre. En redemandant votre indulgence, j'ai choisi de réagir de deux manières: en recadrant certains propos et en déposant plainte. Je recadre les propos parce que la justice est lente alors qu'entre temps les propos tenus contre vous continuent à vous nuire. La justice parce qu'en faisant condamner mon agresseur, je disposerai d'un outil qui protégera mon honneur à tout jamais dans l'universalité et l'éternité de l'affichage sur internet. La justice ordonnera également le retrait de tous ces propos à jamais et punira sévèrement toute récidive. Pensez bien, M. Zodo: je ne suis pas la première victime de ce monsieur. Je rendrai service à toutes les autres victimes si je parviens à faire condamner ce monsieur. Je termine: contrairement à mon agresseur, vous ne trouverez pas dans mes interventions un seul mensonge le concernant. C'est pourquoi mon propos est presque toujours documenté. J'espère, cher Zodo, que vous avez lu ce que mon agresseur écrit contre moi. J'ai l'impression que vous ne l'avez pas fait sinon vous auriez hésité à me mettre dans le même sac. Mais je vous remercie quand même puisque, après tout, vous ne m'êtes pas hostile et que vous ne faites que me demander de ne pas me rabaisser. Je vous ai donné mes raisons et mes difficultés.

Tedanga

Postscriptum : Je parie que si l’ami Zodo lit ce que mon agresseur a écrit me concernant, alors il ne parlera plus d’un blog incroyable. Il recherchera un autre qualificatif. Je lui souhaite bonne lecture et lui dit encore une fois merci pour son conseil.

lundi 6 avril 2009

Méfiez-vous du maître chanteur Maurice Gligli

Ami(e)s internautes,


C’est mon devoir le plus absolu et le plus légitime de me défendre contre les attaques dont je fais l’objet de la part d’un maître chanteur, le Belge malgré lui Maurice Mouta Wakilou Gligli. Si par hasard, vous avez des rapports avec ce monsieur, ne commettez pas mes deux erreurs, à savoir l’aider et l’admettre dans votre vie car, dès la première occasion, il vous poignardera et attaquera votre vie même privée comme il le fait avec la mienne. Pour vous détruire, il est prêt à inventer, à mentir sans vergogne ou à mal interpréter. Voici un bref catalogue d’attaques que je réfute très facilement parce qu’elles sont infondées :


Attaques en règle de ma vie privée

- Attaque de Maurice Gligli : « Pour rappel, ce livre est dédié à une japonaise amante de Ipota Camille dont la photo sera bientôt sur le blog. Avant de juger les autres, il faut se juger soi même. Fidèle mari !!! »

Ma réponse : J’ai effectivement une amie japonaise que mon épouse connaît. Elle fait des démarches pour faire traduire en japonais mon dernier ouvrage. Reconnaissant, j’envisage effectivement de lui dédier un des trois tomes de ma fiction littéraire dont je viens de terminer la rédaction.

- Attaque de Maurice Gligli dans son courriel de vendredi 23/01/09 13:43 : « Toi personnellement qui est venu et qui a voulu draguer toutes mes tantes, qui t'a invité? »

Ma réponse : Draguer une adulte n’est pas illégal. Mais en l’occurrence je ne l’ai pas fait. Maurice Gligli a un comportement de domestique. Quand il a besoin de vous, il se rabaisse d’une manière qui gêne. Dans le cas d’espèce, il va jusqu’à proposer de vous faciliter la tâche auprès des membres féminins de sa famille. Je suis certains que ces dames que je respecte ne seront pas contentes de l’apprendre. Mais jamais je ne l’ai laissé faire. Lors de son dernier colloque sur Tavio Amorin, j’ai offert un petit rien à une de ses tantes. Celle-ci m’a posé la question très juste de savoir pourquoi je faisais ce geste. Je lui ai répondu que c’était en reconnaissance du service que Maurice Gligli avait rendu à ma sœur en ayant fait des photos lors de son mariage coutumier.
- Attaque de Maurice Gligli dans son courriel du jeudi 22 Jan 2009 22:56 : « Combien de fois ne m'as tu pas pris comme couverture auprès de ton épouse pour aller faire tes sales coups avec tes Rwandaises, des dames mariées, femmes d'autrui ».

Ma réponse : Je mets au défi Maurice Gligli de citer le nom d’une Rwandaise ou d’une femme mariée qui ait été mon amante. Un mensonge indigne. Si vous connaissez Maurice Gligli, posez-lui la question. Je sais que vous n’aurez aucune suite puisque c’est un mensonge. Cette affaire reviendra sur le tapis devant le juge. Là il n’aura pas le choix que de désigner ces amantes sous peine d’une condamnation.

- Attaque de Maurice Gligli dans son courriel du jeudi 22 Jan 2009 20:00:18 : « JE VAIS CREER UN BLOG POUR TOI ET POUR TOUS NOS ECHANGES.CELA TAPPRENDRA »

Ma réponse : Je vous laisse apprécier la moralité de ce monsieur. Je demeure courtois car je le « messieurise » et lui donne du vous.

- Attaque de Maurice Gligli dans son courriel du lundi 02/03/09 14:59 : « Ta vie privée que je connais très sera exposée à qui de droit le moment venu ».

Ma réponse : Ce qu’il fait contre moi, il le fera contre vous. Méfiez-vous de ce monsieur. Et dire qu’il envisage de devenir président du Togo. Un maître chanteur pareil ! Je vous laisse apprécier.

- Attaque de Maurice Gligli dans son courriel du dimanche 25/01/09 11:50 : « A part le décès naturel de tes nombreux cousins prêtres dont tu raffoles de leur mort en organisant tout le temps des matanga pour pouvoir ramasser un peu de sous au lieu d'aller travailler à la sueur de ton front? Des prêtres (dont toi même un prêtre raté) indignes du sacerdoce et qui ont des milliers d'enfants dans toutes les contrées du Congo?»

Ma réponse : Mensonges sur toute la ligne et grave atteinte à la mémoire d’un ou des défunts. Mal éduqué ! Devant le juge, il égrènera les noms de ces cousins prêtres décédés, les noms des dames dont ils ont eu des enfants et les noms de ces enfants. Il devra prouver comment je me serais enrichi grâce aux cotisations faites à l’occasion de ces deuils. Vous voyez : je vous avais dit que ce monsieur n’hésite pas à inventer pourvu qu’il pense vous nuire. Mais devant le juge…

- Attaque de Maurice Gligli dans courriel du lundi 08/12/08 21:28 : « ET LA JAPONAISE AVEC QUI TU SORS PRESENTEMENT A QUI TU AS DEDIE TON LIVRE, EST CE TON EPOUSE EST AU COURANT »

Ma réponse : J’ai déjà répondu.

- Attaque de Maurice Gligli dans son courriel du lundi 08/12/08 21:51 : « Je ferai tout pour entrer en contact avec ton épouse pour tout lui dévoiler. Comment tu as invité Hélène … chez vous (…) elle est belle et bien ta propre copine »

Ma réponse : Quand j’ai reçu des collègues scientifiques chez moi, il y avait une certaine Hélène dont je ne cite pas le nom pour la protéger. Elle n’est pas ma maîtresse. L’intéressée lira cette attaque et se réservera de répondre au maître chanteur. Hélène est une bonne amie de ma famille et nous la respectons beaucoup.

- Attaque de Maurice Gligli dans son courriel du mardi 09/12/08 09:55 : « Je vous ai pris en photo avec la japonaise; attends toi à retrouver cette photo chez toi dans les mains de ta femme (…)».

Ma réponse : Malheureux maître chanteur. Ma femme rit. La Japonaise et ma femme attendent cette photo. Méfiez-vous de ce monsieur. Voyez jusqu’où il peut aller.

- Attaque de Maurice Gligli dans son courriel du 12 janvier à 6h59 : « Je vais appeler ta femme, je vais lui parler de tout ce que toi et moi nous avons fait ».

Ma réponse : Je ne sais plus que dire. Je vous laisse juger.

A mon corps défendant


Aux internautes,

Je vous mets en garde contre M. Maurice Gligli. Ne commettez pas mes deux erreurs, à savoir « travailler pour lui et le recevoir chez soi ». Gligli a pris le risque d’attaquer ma vie privée, cela suppose que la sienne soit sans anicroche. Sa femme l’a quitté, en jurant de ne plus revivre avec cet homme hystérique, impossible. Je suis un des rares à connaître cet épisode tumultueux (un de plus) de la vie de ce monsieur. Depuis que sa femme l’a quitté, Maurice Gligli n’a pas réussi à se marier. Je ne peux parler davantage de la vie privée de Gligli parce que je risque, au passage, de toucher à ses proches qui sont eux aussi ses victimes. Je me garde de commenter l’épisode de ses rapports avec la maman de ses trois enfants parce que je respecte beaucoup cette dame d’excellente instruction et d’une éducation raffinée.

Moi qui suis ventru, petit de taille, Gligli m’attribue des maîtresses jusque dans son giron familial. Il faut croire qu’il ne suffit pas en la matière d’être un apollon comme lui. Osez demander à Maurice Gligli quel genre de femmes il fréquentait dans le quartier Madou où il a longtemps vécu. Il y a des choses que la décence interdit de prononcer et je me garde de le faire.

Parlons à présent des repas et autres cadeaux vrais ou inventés. Les propos de Maurice Gligli font qu’il se révèle comme un être mesquin. Du haut de ma dignité, il ne m’arriverait pas à l’esprit de dire à quiconque de me payer un ou deux repas que je lui ai offerts de moi-même. Faites attention à Gligli s’il vous invite. Demain, en cas de litige, il va vous réclamer de lui rembourser en espèces trébuchantes la valeur du repas. Vous connaissez sans doute l’adage latin: Timeo Danaos et ferrentes dona. Là où ça la fout mal, c’est que mon personnage oublie qu’il a mangé chez moi. Il n’y a pas longtemps, j’ai organisé un repas pantagruélique en l’honneur du professeur Bilolo, de Jean-Charles Gomez et de Kalamba Sylvain. En plus de mets exquis, il y avait autant de vins fins, de bière et de liqueur de toutes sortes. Savez-vous qui s’est empiffré le plus sans avoir été mon invité ? Maurice Gligli. Aurais-je vraiment l’idée de réclamer à Maurice Gligli ce qu’il a consommé ce jour-là ? Ma noblesse m’interdit une telle mesquinerie. Et ce n’était pas la première fois que Gligli mangeait chez moi.

Si Gligli m’attaque si fort, c’est parce que j’ai touché à son point le plus faible. Monsieur fait publier régulièrement des notes de lecture, se taillant ainsi l’image d’un intellectuel. Mais le lecteur ne sait pas qui est derrière ces notes. Si ce n’est pas Tedanga, il y a forcément un autre nègre. Si par hasard vous faites vous aussi le nègre pour Gligli, il est temps que vous arrêtiez. Ce monsieur est un ingrat. Alors que vous l’aidez, il vous plante un poignard dans le dos. Il l’a fait avec moi, avec Jean-Charles Gomez, avec d’autres. Il le fera avec vous. Mind of you!

Je n’ai jamais voulu rendre public le travail que je fais pour Maurice Gligli depuis plus de dix ans. C’est lui qui a cru pouvoir utiliser internet pour m’humilier et saper ma dignité. Je ne fais que me défendre et lui rendre la monnaie de sa pièce. J’ai de nombreux arguments que je vais utiliser de manière graduée en fonction de ses réactions. Je publie ci-dessous ce que j’ai fait pour son ridicule rapport de stage en vue de devenir éducateur. Gligli ne devrait pas oublier comment je l’ai réprimandé après avoir lu son texte :

« De :ipota bembela tedanga (tedanga@hotmail.com)
Envoyé :jeu. 15/05/08 01:55
À : mouta w maurice gligli (
maurice_mouta@yahoo.fr)

Maurice,
Ton travail de fin stage ne comporte qu'une page? Cela me paraît trop peu, non?
Le vieux »

Si Gligli n’arrête pas, l’internaute lira la page originale que le Belge malgré lui m’a envoyée par voie électronique et pourra apprécier.

Tedanga

lundi 30 mars 2009

L'impudence du Belge malgré lui Maurice Mouta Wakilou Gligli

L’impudence de Maurice Mouta Wakilou Gligli

Quand on est ou qu'on a été un simple animal reproducteur, qu’on n’a jamais été un père, qu’on a abandonné ses enfants, qu’on n’a pas voulu en reconnaître un, qu’on a envisagé même de renoncer à sa paternité pour ne pas avoir ses enfants à sa charge ; quand on a fait qu’insulter et engueuler la maman de ses enfants en présence de ceux-ci, qu’on s’est comporté avec brutalité en présence de sa progéniture, on est mal placé pour donner des leçons. Père fantôme, Maurice Gligli n’a même pas eu l’occasion d’être ne serait-ce que mauvais parent puisqu’il a abandonné ses trois derniers enfants et qu’il ne vit pas non plus avec les deux premiers. Le Belge malgré lui ne peut pas produire les preuves comme quoi il a participé ou participe encore à l’éducation de ses deux premiers enfants. Un tel homme peut-il donner des leçons à ceux qui ont le mérite de s’être occupés de leur descendance ! J’entends encore Maurice Gligli geindre :

From: moutawakiltg@hotmail.com
Subject: bonjour Vieux
Date: Fri, 21 Nov 2008 04:38:28 +0100
Encore une fois merci de m'avoir accompagné revoir mes enfants. Vieux, permets moi de te dire ce qui suit C'est moi qui a encore le couteau dans la plaie. C'est moi qui vis tout dans tout mon être. La maman et la grand-mère de mes trois derniers enfants m'ont a vie. Pendant au moins une bonne dizaine d’années, je dois payer les nombreuse banques auxquelles je dois de l'argent. Partout, je suis au rouge. Alors me demander de revoir de revoir mon attitude? Je me demande sous quel angle? Me faire piéger pour m'abattre pour de bon? ou quoi d'autres?? Je ne suis pas un intelligent, je ne suis pas une bête, je ne suis pas non plus un con. Mais je suis un fou que la maman et la grand-mère de mes trois derniers enfants ont mis dans la rue. Non mon cœur saigne avec cette histoire............. Tout le malheur qui m'arrive et qui peut être va encore s'empirer bientôt des la reconnaissance du troisième enfant vient du fait que j'ai fait des enfants avec cette femme. Tout mon malheur vient de là. Quelle garantie ai- je ? Quelle assurance ai-je?

Bien à toi

Mouta Maurice GLIGLI
rue de l'Hectolitre 22/7
B- 1000 Bruxelles.
(BELGIQUE)Tél +32 477 71 93 37
Ami(e)s internautes,
Un tel homme peut-il donner des leçons dans ce domaine?
TEDANGA I.B.

Le Belge malgré lui Maurice Mouta Wakilou Gligli est-il normal?

Ami(e)s internautes,

A mon corps défendant, je suis obligé de rendre les coups que me distribue sans raison le Belge Maurice Gligli. Le titre de cette intervention est formulé par moi sous forme d'une interrogation. Mais sous la plume d'un intervenant d'icilome (26 au 27 mars 2009), c'est une certitude comme vous pouvez le lire dans ce court paragraphe qui résume la personnalité de cet individu sans limites:

"Ce Mouta Gligli est un zéro à multiplier par zéro. Sans doute qu'il a un sérieux problème mental (...) Tenez: il était en brouille avec un compatriote à Liège, et Mouta va jusqu'à insulter le handicap physique de l'enfant mineur de ce compatriote (...) Ce jour-là, j'avais les larmes aux yeux et j'ai compris que Mouta n'est pas normal."
Et dire qu'un tel individu prétend devenir président du Togo! Pleure ô le Togo de nos Ancêtres!
TEDANGA Ipota Bembela

dimanche 29 mars 2009

Un grand merci aux amis internautes d'icilome

Ami(e) internautes,

Vous pourriez un jour avoir affaire (qui sait?) au Belge malgré lui Maurice Mouta Wakilou Gligli. Alors vous avez intérêt à lire l'appréciation qui se dégage des propos de ceux qui le connaissent bien. La justice du Dieu de nos Ancêtres permettra de triompher de toutes les injustices dont m'accable Maurice Mouta Wakilou Gligli. Je vous laisse lire les réactions de nos ami(e)s internautes d'icilome sur Maurice Gligli. Ils sont déchaînés:

icilome
Du 26 au 27/3/2009
(Nous avons piqué les passages les plus croustillants. Il est loisible à qui veut lire tous les propos consignés de se référer à icilome pour la date reprise ci-dessus)

· Le Docteur TEDANGA Ipota Bembela (...) écrivait, pour Mouta Gligli qui lui demandait, les comptes rendus des livres. Un différent oppose actuellement Mouta à cet honorable professeur. La bassesse qui se dégage des écrits publiés par Mouta sur son blog (gligli mouta. afrikblog .com) est indescriptible. En face des critiques, il était obligé de supprimer certains écrits des égouts et des passages puérils. Le docteur TEDANGA qui a porté plusieurs plaintes (en cours) contre Mouta Gligli pour diffamation, a décidé de rétablir une vérité en attendant le procès. Le lien ci-dessus est la réaction du Dr TEDANGA publiée sur son blog et sur diastode.org le 15 mars 2009 en réponse aux torchons de Mouta Gligli. Il est intéressant de lire les autres articles figurant sur la page de ce lien (à droite) pour mieux cerner le personnage Mouta Gligli.

· Cher ami Mouta, J'aurais bien voulu te défendre en faisant l'avocat du diable, mais après avoir analysé ces écrits, et après avoir visité une fois encore ton blog, franchement je ne pouvais pas le faire. Mon refus de te défendre est largement justifié, car je t'ai toujours dit de ne pas t'en prendre aux gens comme tu as l'habitude de le faire. Regarde ce que tu as fait injustement contre ... (celui dont tu dis qu'il occupe le terrain belge, et que pour que tu sois crédible et présidentiable, il faut le discréditer). Souviens-toi de ce que notre vieil ami t'a dit. Oui, mon cher ami, la justice divine existe ! En outre, sachant que le vieux Camille connait de fond en comble ta vie privée qui, entre nous, n'est pas glorieuse, tu as commis une grave erreur de l'attaquer. Un conseil d'ami: va demander pardon au vieux Camille TEDANGA pour enterrer cette affaire. J'ai appris que la maman de tes trois derniers enfants s'apprête à rentrer en jeu contre toi pour tout dévoiler. Imagine la suite. C'est pour ça que je t'ai envoyé un mail, mais tu refuses de me répondre, sans doute parce que je ne te défends pas publiquement. J'ai ma conscience tranquille. Je ne suis pas du tout content de ce qui t'arrive. A un ami on doit dire la vérité: tu as tort sur toute la ligne. Pour finir, On dit chez nous : " Nkpinvi nyowu Nkpinga" (Une petite honte vaut mieux qu'une grande honte), alors va voir vieux Camille pour demander Pardon, et appelle Francine pour la calmer. Dis-lui que dès que tu trouveras un boulot, tu t'occuperas des enfants. La nuit porte conseil ! H. Merci professeur !

· Merci de nous permettre de mieux cerner l'individu Mouta qui ne cesse de polluer des sites, et qui veut donner des leçons au RPT dont il a été le responsable de sa jeunesse (JRPT, scolaire) à Tsévié. Au moins pour une fois, le débat est clair, le jeu est net ! Mouta croit qu'il peut diffamer tout le monde en toute impunité. Professeur, encore MERCI pour l'éclairage !!!

· Ce Mouta Gligli est un zéro à multiplier par zéro. Sans doute qu'il a un sérieux problème mental. Ne perdez pas votre temps pour lui. Laissez le Congolais lui régler ses comptes.Tenez: il était en brouille avec un compatriote à Liège, et Mouta va jusqu'à insulter le handicap physique de l'enfant mineur de ce compatriote (...). Ce jour-là, j'avais les larmes aux yeux et j'ai compris que Mouta n'est pas normal.

L'infraction est individuelle IIè partie

TEDANGA Ipota Bembela Bruxelles le 29 mars 2009.-
Avenue Nouvelle 171/381040 Bruxelles
Tél. 0488 423 322

Copie pour information :

- Monsieur le procureur du roi
- Maître Kévin Mannes
Avocat au Barreau de Bruxelles

Objet : Imputation calomnieuse, Monsieur le Directeur du journal La Dernière Heure,
diffamation et atteinte à la vie
privée

Monsieur le Directeur,

Si vous tapez mon nom (Tedanga) sur le moteur de recherche internet Google, vous tomberez sur un article intitulé « abuseur » qui vous conduira au blog d’un certain Maurice Mouta Wakilou Gligli. Sur ce blog, vous pourriez cliquer sur l’article Tel fils, tel père ? et vous trouverez le document ci-dessous dont je vous reproduis le titre :

TEL FILS, TEL PERE ???
(Photo de Tedanga)

Archives JOURNAL La dernière heure

Journal

Archives >

Date: 12/04/2002Section: REGIONSous Section: BRUXELLES

Il viole la fille de ses amis


Le contenu du texte comprend le commentaire d’un journaliste de votre organe d’information sur l’arrêt de justice condamnant mon fils MUPOY Baondjo Tedanga pour fait de viol sur une mineure. Mais l’article tel qu’il est présenté sur le blog de ce M. Maurice Mouta Wakilou Gligli s’intitule Tel fils, tel père ? suivi de ma photo et de la mention « Archives du journal La dernière heure ».

Comme vous le comprenez aisément, ce document est présenté comme sorti des archives de votre journal et pose à mon détriment la question de savoir si je ne suis pas tel que mon fils, autrement dit si je n’ai pas violé une mineure et n’ai pas été condamné à cet effet. Ceci est évidemment hautement dommageable pour moi car je ne me suis pas rendu coupable de tels faits.

C’est pourquoi je vous écris pour vous poser la question de savoir si vous avez dans vos archives un tel document comportant ma photo et celle de savoir pourquoi vous m’auriez mêlé à ce problème qui ne concerne que mon fils qui est adulte. J’aimerais que vous daigniez me répondre au plus vite afin que je sache qui attaquer : vous ou de toute manière Maurice Mouta Wakilou Gligli. Si vous ne m’avez jamais associé à cette affaire comme cela émane du blog de M. Maurice Mouta Wakilou Gligli, il vous est loisible de vous retourner contre ce monsieur. Dans tous les cas, j’aimerais que vous me fixiez.

En démocratie, l’infraction est individuelle. Mon fils a fauté, il a été condamné et a payé sa dette envers la société. Si en plus vous m’associez au titre simplement que je suis son père, il y a là amalgame et diffamation et donc je devrai saisir le procureur du roi dans l’urgence.
Agréez, Monsieur le Directeur, l’assurance de toute ma considération.


TEDANGA Ipota Bembela